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[FLASHBACK] The moonlight illuminates a serial killer/Arthur C. Doyle Ft. Yuko Tsushima

Arthur C. Doyle
Arthur C. Doyle
Messages : 389
Pages : 78
Date d'inscription : 03/10/2017
Age : 29
Localisation : quelque part entre la terre et l'enfer
Dim 12 Nov - 1:04
Arthur C. Doyle
Another night, another day goes by
I never stop myself to wonder why
I live among the creatures of the night
I haven't got the will to try and fight
Against a new tomorrow, so I guess I'll just believe it
That tomorrow never comes

A safe night, I'm living in the forest of my dream
I know the night is not as it would seem
I must believe in something, so I'll make myself believe it
That this night will never go
La lune observait Londres depuis quelques heures maintenant. Il était tard, ou plutôt tôt, tout dépend de ce que vaut deux heures du matin pour vous.
Les rues sont mystérieuses, cachées derrière la brume.
La brume…Celle qui connaît la réponse à bien des secrets. Celle qui abrite les meurtriers, le temps qu’un souffle soit coupé de force. On s’attend presque à l’entendre susurrer le nom de Jack l’éventreur comme une louange.

Mais le jeune homme qui marchait sans but, une cigarette presque finie à la bouche, vous affirmerait que ceci est impossible : la brume n’est pas dotée de la parole. Tout le monde sait cela.
Arthur aimait ces balades nocturnes, quand l’insomnie prenait possession de son esprit. Le froid engourdissant aidait à ralentir son flot de pensées, le bruit de ses pas retentissants dans la nuit vide le calmait.
Calme. C’est bien ce qu’il ressent, là où d’autres seraient effrayés.

Il en a vu assez, malgré son jeune âge, pour avoir atténué le mot crainte. Après tout, on lui a appris qu’il ne fallait pas avoir peur...
Et puis Doyle, en tant que passionné de crimes, adorait cette ambiance.

Passionné de crimes, certes, mais pas de criminels. Il admire leur audace, leur manière de procéder… Mais rarement leurs convictions. Se penser supérieur et choisir qui a le droit de vivre ou mourir ? Il déteste cela.

De toute manière, ceux qu’il avait rencontré avant de n'être engagé par Mrs. Christie, était bien ennuyeux. Alors que maintenant…
Oui, à sa plus grande joie, son esprit était enfin mis à l'épreuve.


C’est donc à la recherche d’une occupation, pour échapper à l’ennui, (et bien sûr l’insomnie) qu’il marchait…

Qui sait, peut-être que cette nuit lui réserve des surprises ?


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Kyôka Izumi
Kyôka Izumi
Messages : 65
Pages : 211
Date d'inscription : 15/10/2017
Age : 21
Localisation : Quelque part
Dim 12 Nov - 17:06
Kyôka Izumi

ft. Arthur Conan Doyle

...A black wolf.
The moonlight illuminates a serial killer...
Ah, ces missions à l'étranger étaient de véritables corvées.
En soi, elles n'étaient pas si différentes que ça des missions que Yūko faisait lorsqu'elle était encore à Yokohama, néanmoins le fait d'être en territoire étranger -et, de surcroît, ennemi- incitait fortement à redoubler de vigilance lorsqu'on faisait partie de la mafia.
Néanmoins, il ne s'était pour le moment rien passé de très intéressant.
Le jour, la jeune femme se contentait de surveiller avec d'autres des convois et autres transports, supprimant parfois les quelques inconscients qui imaginaient pouvoir empiéter sur leurs plates-bandes sous leur nez. Parfois même, elle passait la moitié de ses journées à dormir.

Mais la nuit, c'était une autre affaire. La nuit est le temps de la mafia. C'est aussi pendant la nuit que leurs ennemis se réveillent. Presque toutes les nuits, on signalait des escarmouches plus ou réussies sur les transports, locaux de la mafia et bien d'autres.
Les auteurs de ces attaques vicieuses, paraît-il, provenaient d'organisations ennemies que la mafia avait écrasées à un moment ou à un autre et qui avaient décidés de se venger.
Si ils n'étaient guère plus que des insectes aux yeux de la mafia, désordonnés et sans stratégie, frappant au hasard, leur technique de pseudo-guérilla et leur manque d'organisation les rendait difficiles à éliminer d'un seul coup en supprimant une quelconque tête, tel un essaim d'insectes se séparant quelques secondes pour mieux se reformer, avec leur anarchie originelle.
Le mieux que pouvait faire la mafia était de répondre à leurs attaques en les leur rendant à chaque occasion, en frappant l'ennemi sans relâche, le plus possible.

Et c'est exactement ce que faisait la mafieuse en cette nuit froide et silencieuse.
Un coup sec, une gerbe de sang. Frappé dans le dos, l'homme s'effondra dans un râle presque inaudible. Trois proies cette nuit, la dernière venait de rendre l'âme.
L'odeur du sang était entêtante, envahissant ses narines, et la brume étouffait le moindre son. Dans ces conditions, même elle aurait du mal à sentir si une personne arrivait. Elle devait se dépêcher.
Une demi-douzaine d'hommes apparurent.
Ils allaient s'occuper de tout faire disparaître. C'était leur travail, à eux les "nettoyeurs". Le sien était terminé. Maintenant, elle allait se reposer un peu. Ou déambuler encore un peu dans la ville. Elle verrait.

Elle tourna les talons, et- s'arrêta net.

Les sbires, stoppant leur sordide tâche, se tournèrent vers elle, l'interrogeant du regard.
Elle se contenta de leur intimer le silence d'un signe de la main.

Des pas. Une personne était à proximité. Un pas tranquille, résonnant clairement sur les pierres qui pavaient les rues, de plus en plus fort. La personne s'approchait.
L'une de ses trois cibles avait-elle appelé des renforts ? Pourtant, le nouvel arrivant semblait être seul. Tout à coup, les bruits de pas s'arrêtèrent un court instant, pour reprendre.
Cette fois-ci, elle en était certaine : ils se dirigeaient dans leur direction.
S'éloignant des trois corps baignant dans une mare de sang et aux hommes immobiles, pour se rapprocher de la source du bruit tout en gardant une certaine distance de sécurité et un calme apparent, elle se tint sur ses gardes.
Peut-être s'agissait-il d'un simple civil ayant quelques problèmes de sommeil, mais elle ne pouvait laisser un témoin, quel qu'il soit, en vie.
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Arthur C. Doyle
Arthur C. Doyle
Messages : 389
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Age : 29
Localisation : quelque part entre la terre et l'enfer
Dim 12 Nov - 23:58
Arthur C. Doyle
At least you know you dream alone
Sometimes feel your heart's made of stone
You feel that somehow
There's something wrong with your life
You feel that you're
Just not up for the fight

Should you hold your head
High as you can, come on
Bang bang, shoot em up
And not for all reality
But what about your dignity

Then you start
Feeling the heat, feel the heat
Come on and feel it
Bientôt, sa cigarette s’éteignit.
Il s’arrêta, la laissa tomber à terre, et l’écrasa de son pied.
Il pouvait bien se permettre de salir la ville, après tout, il la nettoie de bien d’autres types de souillure.
Il considéra en allumer une deuxième, la main prête à se glisser dans sa sacoche pour en sortir le paquet toxique qui empoisonnait ses poumons de manière plaisante. Une bien belle antithèse qui lui coutera sûrement la vie, un jour. Ou une nuit. A supposer que quelqu’un ne la lui ôte pas avant, dans une de ces ruelles coupe-gorge...
Mais non, il changea d’avis.
Quelque chose venait de se passer, il en avait le sentiment.

Il se remit à marcher, calmement, lentement. Ne pas se presser. Un gentleman ne se presse pas.
Tu n’es pas un gentleman lui dit en partie de sa conscience.
La perfection n’existe pas répondit-il.

Ses pensées furent interrompu par des bruits de pas.

Quelqu’un venait dans sa direction. Quelqu’un qui marchait comme lui, calmement, lentement. La personne semblait sûre d’elle, des pas confiants. Des pas de jeune femme.
Jeune femme qui sortie de la brume. Il s’arrêta à nouveau.
Il l’observait.
Elle était le genre de personne que l’on qualifiait de « belle ». Non pas qu’il s’intéressait à ce genre de chose. Jeune femme ? Encore adolescente.
Adolescente obligée à grandir trop vite : elle avait quelque chose de spécial. Du sang sur les mains. Littéralement, ou non. C’était la même chose.

« Je ne devrais pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, mais ne devriez-vous pas être chez vous ? A cette heure-ci, bien des assassins rôdent, en quête de proie facile… »

Ah, que l’ironie est amusante. Il était témoin. C’était lui, à cet instant, la proie facile.
Tenter la jeune femme ainsi, n’était sûrement pas une bonne idée.
Mais, cela restait amusant.
En cas de besoin :
Il pourrait se servir de sa capacité.
Il n’aime pas se servir de sa capacité.

Pour une fois, il aurait aimé de la compagnie pendant sa balade nocturne.
Toujours seul dans les moments important… Quelle malédiction.




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Kyôka Izumi
Kyôka Izumi
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Localisation : Quelque part
Ven 22 Déc - 14:55
Kyôka Izumi

ft. Arthur Conan Doyle

...A black wolf.
The moonlight illuminates a serial killer...
Le bruit de ses bottes était le seul qui brisait le silence, lourd et effrayant pour certains, calme et apaisant pour la demoiselle. Ses talons claquaient et résonnaient sur les pierres, au rythme de sa marche tranquille. Même si l'intrus devait être quelque peu… Particulier pour se promener à cette heure, elle savait qu'elle n'aurait aucun mal à se débarrasser d'un tel imprudent.
C'est pour cela qu'elle n'hésita pas à s'approcher de ce dernier, entrant dans son champ de vision sans chercher le moins du monde à se cacher.
Elle observa l'homme. Il était jeune. La vingtaine ? Un peu plus sans doute.
Il était très bien habillé, une allure décontractée et calme. La jeune femme retroussa légèrement le nez. L'odeur du tabac froid, voilà quelque chose qu'elle ne supportait pas. Mais peu importait.
Des cheveux sombres, une peau pâle, un homme que la plupart qualifierait sans doute de charmant, ou beau, mais Yūko ne s'intéressait pas vraiment à ce genre de chose : après tout, ce n'est pas comme si elle en avait eu le loisir, contrairement à la plupart des jeunes filles de son âge elle n'avait pas eu une enfance que l'on pourrait qualifier de ''normale''.
Il prit la parole, elle l'écouta, ses mots ne faisait que renforcer la première impression qu'elle avait eu de lui : il n'avait pas l'air de faire partie d'une quelconque organisation adverse, du moins connue, cependant il était bien trop calme ; d'une manière ou d'une autre, il devait être familier avec le milieu du crime.

« Les proies faciles ne sont pas amusantes… Mais qui sait. Je pourrais vous retourner la question : qu'un homme comme vous se promène seul, c'est étonnant… Mais ne dit-on pas qu'il faut se méfier des apparences ? Peut-être cherchez-vous quelque chose ? »

Il voulait s'aventurer sur ce terrain-là ? Et bien Yūko ne demandait pas mieux. Elle savait qu'elle devrait l'éliminer sur le champ plutôt que de le lui laisser la moindre chance, mais jouer comme ça, c'était amusant… Et au pire, rien ne l'empêchait de se débarrasser de ce témoin plus tard.
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Arthur C. Doyle
Arthur C. Doyle
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Localisation : quelque part entre la terre et l'enfer
Dim 7 Jan - 21:14
Arthur C. Doyle
Arthur C. Doyle a écrit:
I can feel it coming in the air tonight

Well if you told me you were drowning, I would not lend a hand
I've seen your face before my friend, but I don't know if you know who I am
Well I was there and I saw what you did, I saw it with my own two eyes
So you can wipe off that grin, I know where you've been
It's all been a pack of lies

Well I remember, I remember, don't worry,
how could I ever forget
It's the first time, the last time we ever met
Elle l’observait, de la même manière que lui l’observait. Son nez s’était retroussé, visiblement dégouté par une odeur. La demoiselle devait avoir un odorat bien développé.
Aussi développé que sa confiance en elle.
Cette confiance sera sans doute ce qui la mènera à sa perte, un jour.

Et il serait deux, puisque de ce côté ci, l’anglais n’était pas dépourvu de fierté.

Il y avait une tension entre eux deux, presque palpable, bien que calme.
La lune observerait sans doute ce soir, un tango entre un assassin et un chevalier. Un tango où les danseurs veulent la supériorité, être plus vivant que l’autre. Un tango que la Mort observait, jugeant. Elle choisirait le vainqueur, emporterait le perdant avec elle à jamais.

Arthur oserait il tuer, si le vent tourner en la faveur de la demoiselle aux yeux de louve ? Non.

Du moins, techniquement, c’était contre ses principes.
Il pouvait blesser et torturer de toutes les manières possibles, mais tuer, non.

Etait-ce d’avoir une mort sur la conscience qui le retenait ?
Non, les assassins sont amusants, intéressants, mais n’ont pas de valeurs à ses yeux.
Il ne voulait pas leurs ressembler.
Il s’était contenté de travailler avec la police.
Et puis, depuis qu’il est dans l’Ordre, il croisait des criminels bien plus dangereux, et se retrouvait parfois obligé d’utiliser son pouvoir. Les faire souffrir était quelque peu satisfaisant.

En parlant de criminel plus dangereux, on lui retourne la question qu’il a posé.
Elle semblait aussi s’amuser.
Parfait. Le jeu n’en serait que plus intéressant.
Deux ennemis qui sur un accord commun s’amusent à se détester, se chercher, se lancer des piques jusqu’au moment où l’un deux ouvrira les hostilités.
Ce ne sera pas Arthur.

Il lui ai souvent arrivé de se battre dans les ruelles en étant plus jeune. Ce n’était jamais lui qui commençait les combats.
Mais c’était lui qui y mettait fin.

Ces bagarres n’avaient jamais eut de dialogues comme ici. Il n’y avait qu’action.
Et puis, ces personnes ne se battaient que pour faire mal et se faire mal, pas besoin de savoir manier les mots. Elles laissaient leurs corps parlaient.

« Qu’y a t-il d’étonnant à voir un Londonien marcher dans les rues de sa ville ? Je ne cherche rien de spécial, peut-être le sommeil ? Un peu de sport avant d’aller se coucher ne fait de mal à personne. J’apprécie le calme de la nuit, je ne pensais pas trouver une autre personne dans ce cas. Tous la craint pour différentes raisons. Je peux les comprendre, pour des gens simples elle est dangereuse et cruelle. »

Sans pour autant perdre sa façade calme, une lueur dans ses yeux indiquaient qu’évoquer le danger ne le laissait pas indifférent.



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