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Perfect fashion for a perfect lady •• Kôyô/Faulkner

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William Faulkner
William Faulkner
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Dim 24 Déc - 17:56
William Faulkner
beauty is all that matters, right?
Jolie, jolie, une jolie femme
vient voir Faulkner, aujourd'hui.
une très belle femme une associée une
japonaise
Ozaki-san qui, disons-le, est superbe en tailleur mais
Faulkner ose quand même
imaginer
qu'un kimono
ben ça serait encore mieux (Ce serait tout simplement
parfait)

après une ou deux discussions
(charmantes, absolument charmantes)
avec cette dame Faulkner a
tout simplement
Saisi une occasion
de faire
plus… ample connaissance. (quel bonheur)

Oui oui C'est vrai Faulkner
apprécie
cette femme C'est le
moins
qu'on puisse dire Charmé dès le début Mais comment
résister
à tant de beauté ?
C'est vrai que c'est difficile N'importe qui vous le dirait Alors voilà le brun il a envie de
la connaître un peu mieux
la voir encore
(et encore)(et encore)

alors oui Tant qu'à faire autant combiner mes deux souhaits qu'il s'est dit (malin, le petit) et il a invité la dame à
essayer
des kimono
avec lui (sa passion)
Et évidemment Faulkner a
sorti ses plus belles étoffes (masculines comme féminines).

À présent il
attend
simplement
Ozaki-san. Et il a l'air de bonne humeur.
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Kôyô Ozaki
Kôyô Ozaki
闇に咲く花
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Localisation : Dans sa résidence
Jeu 28 Déc - 16:38
Kôyô Ozaki
Il fallait avouer que la Guilde avait aussi son lot de personnages intéressants. Beaucoup de personnalités à découvrir, alliées à leur propre culture qui différait quand même de la culture nippone. Etant assez traditionnelle dans sa manière de vivre, le changement de décor, de vêtements et de collaborateurs avait tout de même un peu désorienté Kôyô au début. Elle était étonnée même de voir certaines divergences aussi flagrantes entre les membres de cette organisation. Certes, même à la Mafia tous n'étaient pas aussi loyaux qu'ils le prétendaient mais ils se gardaient bien de le montrer. Les conditions de vie étaient-elles plus souples ici? Là d'où elle venait, un simple murmure de désaccord pouvait suffire à perdre la tête, mais il fallait croire que ces Américains étaient plus relax, comme ils diraient...

Bref, au milieu de cette petite foule grouillante aux regards plus ou moins bienveillants envers elle -surtout vers le "moins" à vrai dire-, l'ex cadre avait pu revoir ce jeune homme qui l'avait 'défendue' face à l'Anglais aux cheveux rouges. Il lui semblait intéressant, assez pour le revoir plusieurs fois.
Kôyô remarqua assez vite qu'il tentait de s'approcher d'elle, autant physiquement que psychologiquement. Technique de drague mal gérée? Essai maladroit de nouer un lien pour s'assurer qu'elle ne venait pas faire sauter le bateau? Peu importe, dans tous les cas, la jeune femme s'amusait à lui répondre en acceptant à la fois qu'il se rapproche, mais en le rejetant aussi un peu. Et puis il avait l'avantage de parler sa langue. Pas que ça représentait un énorme avantage par rapport à tous les autres membres, mais c'était agréable bien qu'elle doutait qu'il comprenne les termes spécifiques utilisés dans la Mafia si elle venait à les employer.

Aujourd'hui, elle allait le retrouver à nouveau, pour un essayage de kimono. Ayant dû abandonner les siens en quittant le port de Yokohama et sa chère résidence privée, cette perspective était alléchante. Sans compter que la japonaise voulait voir si un étranger pouvait s'y connaître à ce sujet. Essayait-il de l'impressionner avec sa collection? Il ne savait pas, après tout, qu'elle en portait quotidiennement avant, et donc que ses propres meubles conservaient les précieuses étoffes accumulées au cours des années. L'avantage d'un cadre qu'elle regrettait aujourd'hui, c'était qu'elle pouvait s'offrir ce genre d'extravagances.

Avec deux minutes de retard, Kôyô frappa à la porte des appartements de son collègue et y entra dès qu'elle le put.

- Bonjour William, je m'excuse d'être en retard mais je me suis permise d'apporter quelques douceurs.

En effet, elle tenait un petit carton d'une pâtisserie réputée de Yokohama dans lequel se trouvait plusieurs mini pâtisseries comme on peut en voir en France. Il était rare qu'elle en achète mais il semblait bien naturel de lui apporter quelque chose alors qu'il avait l'amabilité de l'inviter, non?
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William Faulkner
William Faulkner
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Lun 8 Jan - 0:23
William Faulkner
beauty is all that matters, right?
eh bien eh bien
Ozaki-san ne se fait pas vraiment
attendre.
quelques minutes à peine seulement de retard
peut-être bien pour se faire encore plus
désirer ?
Aaah ça ne dérange même pas Faulkner Après tout ça ne peut pas faire de mal
n'est-ce pas ?

il lui ouvre la porte avec un sourire
un sourire simple, presque doux
dénué de sa malice et de sa perversité
habituelles. (un miracle)
"bonjour Ozaki-san.", qu'il répond, presque mielleux (pas encore au point des sucreries qu'Ozaki-san a rapportées)(j'espère)
"ne vous inquiétez pas, ce n'est rien. et je vous remercie, c'est apprécié…"
oui oui, toujours mais encore
plus
venant d'une belle dame.

"je vous en prie, installez-vous", qu'il continue, tranquille il est
de bonne humeur le Faulkner c'est
Le moins qu'on puisse dire.
et puis il la débarrasse des affaires qui pourraient éventuellement la gêner
met tout ça non loin, délicatement
C'est que sa cabine n'est de toute façon
pas très grande Juste à l'image
de celle de chaque membre de la Guilde mais Bon c'est suffisant pour vivre et pour
ramener des gens Alors on ne va pas se plaindre hein.

sobrement décorée la cabine de Faulkner elle en dit pourtant un peu sur lui Il y a
surtout des plantes
quelques fleurs
une ou deux babioles (des cadeaux peut-être ?)
un grand lit
des porte-manteaux des commodes une armoire une coiffeuse et autres meubles à tiroirs et puis
quelques livres et magazines rien de bien
extravagant n'est visible.

enfin bref Faulkner préfère accorder
son attention à
cette Superbe femme qui se tient devant lui. "j'imagine que vous n'êtes pas étrangère aux kimono, mais je ne vous ai pas vue en porter depuis votre arrivée ici…", qu'il commence. c'est qu'il s'intéresse
à elle
le noiraud
(peut-être un peu trop)
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Kôyô Ozaki
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Sam 13 Jan - 15:07
Kôyô Ozaki
Kôyô attendit qu'il l'invite à s'installer pour qu'elle le fasse comme si elle possédait l'endroit. Elle s'est permise d'enlever sa veste, restant donc en simple chemise blanche sur laquelle cascade ses cheveux relâchés. Il est clair que ce style changeait radicalement de ce qu'elle portait il y a quelques mois encore, mais ce n'était pas si désagréable. Elle se sentait presque respectable. Comme si simplement changer de vêtements suffisait à changer ce qu'on était. Bon, il faut dire que la jeune femme avait déjà fait quelques infiltrations où simplement revêtir le costume approprié lui permettait d'entrer où elle voulait. Mais pour qui la connaissait, on savait bien les capacités dissimulées derrière ce tailleur sur mesure et à la chemise légèrement transparent.
Elle pose simplement son téléphone sur l'accoudoir du fauteuil où elle a pris place et écoute la question de son hôte. Un sourire éclaire alors son visage.

- Je suis loin d'y être étrangère en effet. A vrai dire, je dois avoir pas loin d'une... quarantaine de pièces. Une bonne partie est réservée à des événements spécifiques mais autrement j'avais l'habitude d'en porter quotidiennement.

Il était évident qu'elle ne mettait pas ses plus belles créations pour les simples missions ou réunions de la Mafia. Quand elle s'en rappelait, il y avait sa plus belle pièce en exposition dans sa chambre qu'elle n'avait pas pu ranger comme il fallait. Ca lui faisait mal au coeur d'avoir dû laisser tout cela derrière. Avec de la chance toutefois, peut-être que Chûya penserait à s'en occuper... en espérant que la résidence soit restée inoccupée.

- Bien sûr, comme toute la Mafia connait mon penchant pour les kimonos, il n'aurait pas été intelligent de continuer à en porter. Encore moins alors que le Boss a mis cette somme sur ma tête.

Kôyô était pourtant difficilement loupable avec ses cheveux. Pourtant, bien qu'elle soit passée plusieurs dans des quartiers où la Mafia était cependant fortement présente, on ne l'avait pas encore reconnue. Etaient-ils assez stupides pour croire qu'elle allait apparaître devant eux avec son kimono blanc et rose et son ombrelle rouge vif?

- Et toi? Quand a commencé cette folie pour ces étoffes?

Elle ne se souvenait pas avoir déjà employé un ton aussi familier entre eux, ayant toujours utilisé le respect de mise entre deux personnes se connaissant à peine. Cela dit, vu l'intérêt qu'elle semblait provoquer chez ce cher William, elle avait hâte de voir sa réaction.
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William Faulkner
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Mar 13 Fév - 16:44
William Faulkner
beauty is all that matters, right?
ah mais
même en tenue occidentale
Ozaki-san est vraiment très belle… les yeux du jeune homme se perdent presque
en regardant cette femme sublime
(on y perçoit l'attirance
l'admiration et
une pointe d'intimidation ?)

Mais il l'écoute aussi, bien sûr
attentivement
C'est un sujet qui l'intéresse fortement après tout Et encore plus si c'est cette dame qui lui en parle
"je vois… une bien respectable habitude, si vous voulez mon avis", qu'il sourit
presque doux
"c'est vraiment dommage d'avoir eu à abandonner vos kimono…"
(le voilà sincère et presque
triste pour elle)
Mais heureusement que je suis là on va pouvoir
réparer ce drame. maintenant qu'il y pense il est content d'être
petit (pour un homme) Faulkner il va pouvoir prêter
ses vêtements
à Ozaki-san (un honneur)

"moi ?" qu'il reprend
un peu surpris il rosit légèrement de la soudaine
familiarité (mais il ne s'en plaint pas, au contraire.)
"ma mère…" et ses yeux fuient la dame "ma mère est japonaise. c'est d'elle que j'ai tout appris… la langue, les kimono, et même la cuisine…" un léger sourire se dessine sur ses lèvres Quelle douce pensée que le souvenir de Maman "je l'ai toujours trouvée très jolie, en kimono, même si elle n'en portait qu'à certaines occasions"
et voilà le résultat.

bref
Faulkner ne tarde pas à se tourner
vers une commode
et à ouvrir un tiroir.
"hm, est-ce que… tu (?) as une idée de ce que tu voudrais porter aujourd'hui ?" qu'il demande
(un peu incertain)
Mais si elle a pris la liberté d'être familière, il peut aussi, n'est-ce pas ?
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Kôyô Ozaki
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Mar 13 Fév - 17:20
Kôyô Ozaki
Mmmh oserait-elle vraiment se déshabiller devant ce jeune homme pour revêtir un kimono? N'était-ce pas un peu... immoral? Oh, on pourrait bien dire de l'ex-cadre qu'elle n'était plus à ça près avec tout ce qu'on lui reprochait mais les crimes sexuels étaient bien un domaine où elle n'avait jamais glissé un seul orteil.
Pourquoi parler de crimes sexuels ici? Il est vrai qu'entre deux adultes, il y avait peu de chances que quelque chose arrive mais... Kôyô se demandait l'âge de ce jeune homme. Plus jeune qu'elle, ça elle pouvait l'affirmer mais précisément... dur à dire. Il était fin, un peu comme Chûya. Cela expliquait peut-être son désir de s'amuser un peu avec lui sans pour autant franchir le pas. Voilà pourquoi elle se demandait si elle pouvait ou devait se changer ici devant lui.
En attendant, elle écouta avec attention la réponse à sa question.

- Un bien bel héritage, d'autant plus pour un homme. Les tenues masculines sont, d'ordinaires, si ternes...

Même les tenues masculines traditionnelles n'avaient pas le créatif des kimonos féminins. Il manquait une finesse, un je-ne-sais-quoi qui les rendaient attirants, originaux. Bien sûr, il fallait savoir mettre le prix pour avoir des pièces de qualité qui attiraient les regards, mais cela valait largement la dépense. Et au fond, Kôyô était contente d'avoir trouvé quelqu'un pour partager cet attrait, d'autant plus alors qu'elle se trouvait au milieu d'étrangers.

Lorsque la voix de William se permet de la tutoyer, un sourire éclaire son visage. La jeune femme ne répond pas tout de suite mais se lève. Elle s'approche de la commode, et surtout du jeune homme afin de regarder par dessus son épaule, rapprochant donc leurs corps, bien que cela soit inutile puisqu'ils ne se trouvaient pas dans un espace restreint. Toutefois, elle se permet ce rapprochement, pour le voir rougir encore, un peu plus fort, pour mettre à mal cette assurance méprisante qu'il arbore en dehors et dont on lui a plusieurs fois parlé.

- Mmmh... fit-elle, méditative. Intéressant.

Mais déjà son regard quitte les quelques pièces qu'elle a pu voir tandis que son corps rompt le contact avec celui de William.

- Je souhaiterais une couleur qui me mette en valeur bien sûr... et qui mette en valeur mes cheveux, je n'ai pas envie de les attacher pour une fois.

Les cheveux lâchés donnaient, à son sens, un air négligé qui d'après ce qu'elle avait pu constater ne déplaisait pas forcément aux hommes. Et puis il serait peut-être temps de rendre justice à la couleur vive de sa chevelure, trop longtemps compressée dans ses coiffures strictes.
Tout en parlant, ses doigts se saisissent d'une petite gourmandise non loin et revient auprès du jeune homme pour lui glisser entre les lèvres.

- Qu'est-ce que tu aurais pour ça?
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William Faulkner
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Mer 14 Fév - 17:56
William Faulkner
beauty is all that matters, right?
décidément
Faulkner apprécie
de plus en plus
cette belle dame
Faulkner est content (même bien plus que content) Il a l'impression
qu'ils peuvent se comprendre (au moins un peu)
qu'enfin sa culture japonaise
est reconnue (partagée)
Quelle joie

il examine quelques
pièces dans son tiroir Pour déjà sélectionner Les plus belles Celles qui iraient le mieux
à Ozaki-san
parmi ses kimono féminins (oui, féminins
et Faulkner en a
beaucoup)
C'est que C'est une question import— ah

Faulkner ne
pensait pas que
qu'elle serait si…
à l'aise ?
Lui aimerait l'être autant (il ne l'est pas) Mais qu'est-ce qui me Pourquoi ne suis-je pas comme d'habi— (à nouveau il rougit
un peu plus fort cette fois) ah…
un si petit contact (et pourtant délicieux) Pas de quoi se mettre dans tous ses états (et pourtant) Faulkner ne peut que
l'apprécier
pendant les quelques secondes qu'il dure.
(mais c'est déjà fini)

ah là là
mais Faulkner s'efforce
de ne rien afficher (N'est-ce pas moi qui séduis l'autre, d'habitude ?)
Oui oui oui ce sont des Mimiques des petits gestes tout simples mais Si efficaces que lui-même
utilise
pour faire du charme
Et Faulkner sait bien qu'Ozaki-san n'est pas bête (au contraire) il se doute qu'elle se joue de lui
Mais…
(c'est bien la première fois
qu'il se retrouve aussi
gêné
pas un si petit geste)

mieux vaut l'écouter et réfléchir pour trouver
la pièce parfaite
pour elle aujourd'hui
Faulkner relève le nez, regarde la dame, ses beaux cheveux
"c'est vrai que c'est une très belle coul— mh—"

r a h
cette fois-ci Faulkner ne peut pas
cacher son trouble (ni le rouge
sur ses joues) alors qu'il mange Ce petit gâteau
Si gentiment offert.
après l'avoir avalé (oui il a des manières
enfin
au moins en face de ces dames)
il reprend (comme si de rien n'était) "ton retard est d'autant plus pardonné que ces gâteaux sont délicieux…"

(il détourne les yeux
encore)
"que penses-tu d'une pièce claire si tu veux mettre en valeur ces beaux cheveux ?" cache ton trouble, cache-le "avec éventuellement des détails et accessoires d'une couleur qui s'en rapproche…"
ou peut-être une pièce noire ? Mais ça fait plus masculin… Bien que ce soit plus élégant
hmmm
hhhhmmmmmm
question épineuse
(surtout quand on a la tête loin
loin
ailleurs.)
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Kôyô Ozaki
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Mer 21 Fév - 17:02
Kôyô Ozaki
Il était embarrassé. Il rougissait. N'était-ce pas mignon à souhait? Aah la jeunesse, si facilement intimidante malgré ses grands airs.
Après lui avoir donné sa petite gourmandise, Kôyô alla en prendre une autre pour elle-même. Elle prêtait bien sûr une oreille attentive aux suggestions de William qui parvenait tant bien que mal à rester concentré. Mais combien de temps encore? Il faudrait peut-être trouver autre chose pour le perturber.

- Des couleurs claires... mmh non, pas en couleur principale.

Les nuances claires étaient celles dont elle avait le plus l'habitude. Mais surtout, aujourd'hui ça lui paraissait un peu enfantin... Elle aurait souhaité changer un peu.

- Le noir non plus, je mettais souvent cette couleur pour mon kimono principal et là j'en porte encore avec ce tailleur, mais je veux bien quelque chose de foncé.

Elle pensait notamment au marron, aux couleurs automnales en général, même si ça n'était pas trop la saison. Qui ça offusquerait de toute manière? En dehors des deux personnes présentes dans cette pièce, il y avait peu de chance qu'un autre regard sur ce yacht comprenne quelque chose à la mode nippone.
Kôyô s'installa à nouveau dans le fauteuil et enleva ses escarpins.

- Non aussi pour les accessoires trop... ton sur ton... Il faudrait quelque chose de plus brillant, de plus... luxueux.

En dehors des accessoires de ses cheveux, l'ex-cadre portait peu de bijoux mais il était certain que les rares qu'elle possédait étaient d'une qualité supérieure. Elle espérait que ce jeune homme en ait également.
Et comme pour ajouter un peu de pression supplémentaire, la jeune femme commença à dégrafer les boutons de sa chemise, lentement en partant du bas.

- Et vite, avant que j'attrape froid...
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William Faulkner
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Dim 4 Mar - 12:30
William Faulkner
beauty is all that matters, right?
hmmmm
il semblerait que Faulkner
fasse fausse route
(il faut se concentrer un peu plus)
Mais au moins elle semble savoir
ce qu'elle veut, Ozaki-san

quelques refus quelques
explications Et il se force
à regarder ailleurs (dans son tiroir par exemple)
pour ne pas être de nouveau
perturbé…
(il s'en rend compte évidemment
que tout ça n'est
qu'un jeu) Mais comment résister ?

Enfin, reprenons
Faulkner a de lui-même écarté
les couleurs froides (ça n'irait pas, surtout les foncées)
quelques couleurs trop vives
et maintenant le clair
Hmmmm Il n'en reste pas beaucoup si on enlève aussi le noir
autrement dit du rouge sombre et du
… marron ? ah mais oui J'ai ça moi

"bien sûr, Ozaki-san…" (mais elle lui met
la pression oh là là
Faulkner aime les femmes
qui s'affirment comme ça)
Aussitôt (mais délicatement) il sort cette pièce d'un très beau marron du tiroir
il y a des motifs floraux blancs, orangés, ocres
un ensemble automnale de la meilleure qualité
Et puis il le déplie pour le montrer à la dame
"comment le trouves-tu ? il me semble qu'il te mettrait parfaitement en valeur… j'ai des bijoux et des accessoires qui s'accordent à la perfection avec celui-là, tu serais sans aucun doute la plus belle" (même si tu l'es déjà
qu'il a envie d'ajouter)

Il remarque seulement
qu'elle se déshabille déjà…
Alors on prend ça pour un oui ?
"s'il te plaît, je serai ravi de t'aider à le mettre…", qu'il suggère
non sans intérêt
mais à quoi bon le cacher maintenant ?
si tout cela est un jeu, autant s'amuser un peu, non ?
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Kôyô Ozaki
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Sam 31 Mar - 11:10
Kôyô Ozaki
C'était agréable en fait d'avoir un jeune qui faisait tout ce qu'elle demandait. Ca changeait de ses sbires habituels, et sans parler en plus de Chûya qui, loin d'être un sbire, était entré sans jamais en sortir dans une spirale de crise de la puberté qui le faisait très fréquemment frôler l'impertinence, même envers elle. Ce petit jeu d'influence était plaisait et très satisfaisant. Kôyô comptait bien le taquiner. Elle la japonaise aux origines douteuses mettant un point d'honneur à demeurer élégante en toutes circonstances, face à un jeune américain à moitié japonais qui se pavanait d'avoir d'excellentes étoffes et surtout qu'il savait comment les assortir.
Et puis son innocence l'amusait. Enfin... disons plutôt que sa réaction enfantine d'être embarrassé suite à un simple contact physique était amusant. Elle ne l'avait pas menacé qu'elle allait le manger tout cru pourtant.

Ah. En effet, voilà une très belle pièce pile dans le thème qu'elle avait en tête. Excellent.

- La plus belle par rapport à qui? Je doute qu'ils soient ouverts à la mode traditionnelle nippone, ni même la culture de ce pays en général, vu comment la Guilde a cherché à tout s'approprier depuis son arrivée.

Il ne fallait pas que ce petit jeune croit qu'il suffisait d'un ou deux compliments si peu subtiles pour qu'elle le laisse avoir quelque influence sur elle. Le voilà d'ailleurs qui se propose de lui mettre le kimono. Tsh. Vilain garçon.

- Ne brûle pas les étapes s'il te plait.

L'ex cadre finit d'ouvrir complètement sa chemise puis se permit de regarder dans un tiroir pour un tirer un simple kimono blanc, fin, qui servait d'habitude de sous vêtements. D'ordinaire, Kôyô suivait la tradition et ne mettait pas de sous-vêtements modernes pour le haut du corps, sauf occasions spéciales. Seulement, elle ne pouvait, ni ne voulait, faire sa prude ici, sans vouloir non plus se retrouver nue face à Faulkner.
Faisant face à ce dernier, elle enleva alors sa chemise (elle n'avait qu'un simple soutient gorge blanc en dessous) et mit le kimono fin. Avant de le fermer, elle enleva son pantalon. Le bas de son corps fut donc, pendant quelques instants, seulement en partie caché par les pans du kimono.
Il avait dû voir sa cicatrice à l'abdomen, ce petit souvenir fort déplaisant d'Akutagawa. Cela dit, ce n'était rien comparé aux cicatrices de son dos, raison pour laquelle la jeune femme s'était mise face à l'américain. Il y avait également son tatouage sur la cuisse gauche, une tradition courante dans la Mafia japonaise. Celui-ci représentait le visage de Yasha, son démon, qui était en train de dégainer son sabre.
Tout le long de son changement, elle n'avait pas accordé un regard à son spectateur, comme si elle était seule. Il reçut son attention à nouveau une fois qu'elle fut à nouveau décente.

- Maintenant tu peux m'habiller. J'espère que tu as une ceinture qui va avec.

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