Localisation : quelque part entre la terre et l'enfer
Mar 22 Mai - 0:36
Arthur C. Doyle
It's
gonna be
Alright
Le Noel avec Monsieur Faulkner s’était bien passé. Alors, il devrait en être de même pour une fête d’anniversaire, n’est-ce pas ? C’était pareil, sauf qu’il y avait moins de nourriture, tout autant d’alcool, et surtout : plus d’invités. S’il arrivait à gérer toute une équipe et mener à bien des missions dans l’Ordre, il devrait pouvoir gérer ses…amis. Au pire, il y avait toujours l’alcool. Il pourrait finir la soirée en tête à tête avec une bouteille de scotch, et laisser l’Apo-e-calypse arriver une bonne fois pour toute. C’est assez pessimiste ça, Arthur. La soirée n’a même pas commencé. Et puis ça permet de décompresser, oublier l’Agence et tout cela. En parlant d’Agence, son premier invité est enfin arrivé. Il devine aisément qui c’est, bien avant d’ouvrir la porte avec un léger sourire.
- Doppo ! Cela me fait plaisir que tu sois là… Entre, je t’en prie !
Une soirée de printemps, le temps est doux. Kunikida marche tranquillement vers un endroit inconnu, mais où il a envie de se rendre. Il ne se permet jamais d'être en retard, mais encore moins pour rendre visite à son collègue et ami Arthur. Il est ravi d'avoir été invité pour l'anniversaire du brun.
Bon, il ne peut pas dire qu'il n'est pas nerveux. C'est qu'il n'a pas trop l'habitude de ce genre d'évènements… Et il a entendu dire qu'il y aurait d'autres gens, ce qui semble normal après tout. Connaissant Arthur, il n'y a pas de raison que ça se passe mal, n'est-ce pas ?
Pile à l'heure, à la seconde près, il toque à la porte. Arthur l'accueille avec le sourire, ce qui suffit à en faire apparaître un aussi sur le visage du blond. "Moi aussi, ça me fait plaisir… Merci de m'accueillir chez toi.", qu'il répond avec une petit courbette avant de vraiment entrer. Il a apporté un petit paquet… Et espère que ça fera plaisir à l'autre aussi. Pour le moment, il regarde simplement les lieux avec curiosité. "J'enlève mes chaussures ?" C'est qu'il n'est pas sûr de ce qu'on fait à propos de ça en Angleterre… Mais il a failli commencer à les enlever, par réflexe.
On l’avait invité à une soirée, ou du moins plutôt à un anniversaire. Il n’aimait pas les fêtes, il avait horreur de ça, mais il ne pouvait pas refuser, ce n’était pas celui de n’importe qui. C’était celui d’un vieil ami qu’il avait revu il y a peu, Arthur. Alors ce qu’il fit, c’est qu’il s’habilla correctement, ou du moins autrement que d’habitude, se coiffer il avait abandonné, mais il n’oublia pas le cadeau, ni Karl.
Il s’était mis en marche vers chez son hôte et une fois devant la porte, il n’osa pas frapper, mais il sembla que quelqu’un fut entré juste avant lui, et avaient refermé la porte juste avant qu’il arrive au pas de la porte. Bon. Il beugua un instant puis frappa de nouveau à la porte, Karl dormant sur ses épaules pour une fois, qu’il caressa doucement d’une main.
William Faulkner
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Sam 9 Juin - 13:25
William Faulkner
Arthur devient vieux
Party hard
il sont en retard. (ça n'a rien d'étonnant) tout Ça parce que l'autre face de pet traîne encore. (non mais j'vous jure)
Non non Moi J'étais à l'heure Je n'ai Pas du tout passé deux heures dans la salle de bain. eh, Je ne pouvais pas aller à l'anniversaire d'Arthur sans être le plus beau.
Faulkner est content de lui vraiment (si avec Ça on ne le complimente pas mais où va le monde ?) Pour une fois vêtu à l'occidentale (va-t-il en faire une habitude quand il va chez Arthur ?) Faulkner sourit à son reflet
Parfait.
"c'est bien beau de se faire désirer mais il faut y aller~" lance-t-il à Snicket en descendant du bateau, souriant. donc Oui ils sont en retard Mais C'était pour la bonne cause.
Wouw, incroyable, tu t’étais bougé. Tu avais réussi à te bouger sans être trop en retard. T’étais resté le plus longtemps possible chez Ray en même temps, très clairement ton nouveau QG. Mais tu étais invité à cet anniversaire, et tu ne comptais pas refuser. Le plus dur, ça avait été de remonter sur ce bateau là. D’attendre l’autre quiche qui était déjà assez inhumain pour traîner dans une salle de bain, et qui y traînait deux heures en plus. T’avais eu très trèèès envie de lui ébouriffer les cheveux quand il en état enfin sorti. Mais ça serait revenu à rester encore plus longtemps ici. Alors tu t’étais retenu, oui.
« ▬ La prochaine fois, raaaaappelle moi de te rejoindre avec deux heures de retard. Parce qu’à force d’t’regarder, j’ai bien cru que j’avais fait un AVC à un moment. »
Par contre, t’es bien content de retrouver l’air frais là. Tu vérifies, un peu tard certes, que t’as bien le cadeau, mais heureusement, il est dans ta poche. Donc tout va bien, tu peux retourner à tes conneries habituelles. En l’occurrence, essayer de marcher sur un des talon de Faulkner, juste pour que sa chaussure se mette mal. Mission très importante. Mais quelque chose t’interromps dans cette mission, une silhouette au loin que vous semblez suivre depuis un petit temps. Qui monte même. Eeet toque à la porte. Très étrange, tout ça.
« ▬ … On le connaît, non ? »
T’essayes d’être un minimum discret, mais bon, ça a jamais été ton fort.
Arthur C. Doyle
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Localisation : quelque part entre la terre et l'enfer
Mar 7 Aoû - 18:37
Arthur C. Doyle
It's
gonna be
Alright
- Cela me fait plaisir de t'inviter... Tu peux garder tes chaussures.
Dit-il avec un sourire. C'est que la différence de culture se verrait de suite avec les autres invités. Invités qui ne tardaient pas à arriver. Arthur s'excusa et alla ouvrir la porte. Un léger rouge colora ses joues alors qu'il tomba nez à nez avec Poe.
- Edgar, bonjour... Je t'en prie, entre et installe toi. Je vais accueillir les derniers invités.
Dont il pouvait entendre la voix au bout du couloir. Il laissa passer l'écrivain, puis sorti pour regarder Snicket et Faulkner - toujours élégamment habillé - avec un sourire taquin.
- J'ai failli attendre, les américains n'ont-ils vraiment pas sens de la ponctualité ?
Sa bonne humeur l'étonnait, mais elle était agréable.
Le voilà surpris, Doppo. Garder ses chaussures ? "Euh… D'accord." Mais… L'appartement ne se salit-il pas plus vite comme ça ? Les occidentaux sont… Il trouve ça étrange. Mais il reste souriant, et ne retire donc que sa veste, qu'il pose ensuite sur un porte-manteau.
Peu de temps après rentre un autre invité. Le blond stresse un peu. Il ne s'y attendait pas. Il n'avait pas réfléchi à la chose. Il ne connaîtra sûrement aucune personne, ce soir… À moins que d'autres gens de l'Agence ne soient invités, mais ça lui semble peu probable.
Pourtant, il reconnaît cette tête. Cet homme… Il le fixe un peu, le temps de retrouver la mémoire. Remarque le raton-laveur. Oui, c'est ça ! Il a dû le croiser à l'Agence alors qu'il venait voir Ranpo. Edgar Allan Poe. "Bonsoir.", salue-t-il simplement en lui tendant la main. Il ne le connaît pas plus que ça, mais c'est au moins une tête familière.
Bon, être aussi proche d’Arthur quand il ouvrit la porte le fit rougir de surprise aussi et il recula, manquant de se prendre les pieds dans le tapis. Mais tout va bien, il réussit à se rattraper mais ça réveilla Karl, qui ne se fit pas prier pour entrer et aller se poser on ne sait où dans l’appartement. D’accord.
- Bonjour Arthur, happy birthday.
Avait-il lancé dans un sourire, qui s’effaça presque aussitôt qu’il entendu la voix de Faulkner. Il y jeta un coup d’œil et rentra plus vite dans l’appartement comme pour fuir. C’est qu’il n’avait pas envie de le voir celui-là. Snicket ne le dérange pas mais lui- .. C’est qui lui ? Il fixa Kunikida pendant le même laps de temps que lui semblait le fixer puis.. Ahhh oui. Un collègue de Ranpo. Qui lui tendait la main.
- Bonsoir.
Fit-il d’une voix timide et à la fois presque froide, venant serrer doucement la main du collègue dont il ne se souvenait le nom. Tant pis, on va bien l’appeler à un moment ou à un autre. Il alla déposer le cadeau dans un coin et semblait observer les lieux lui aussi. Puis décida d’aller s’asseoir sur un fauteuil un peu en retrait.
William Faulkner
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Sam 8 Déc - 22:50
William Faulkner
Arthur devient vieux
Party hard
une remarque désobligeante et de vains essais contre ses talons. Snicket n'est vraiment pas sortable dites-moi (j'en aurais presque honte) pour la peine o u p s le talon victime devient l'assassin de son orteil (j'ai glissé je vous assure)
"non non on ne le connaît pas" pas du tout du toutdu tout (pourquoi déjà ils doivent s u i v r e Poe de peinture ?)
un nouveau visage familier et un sourire satisfait (enfin nous arrivons !) "il faut savoir se faire désirer, Arthur~" la diva entre en scène. "bonsoir." (il étincelle) un grand (géant ?) blond et un entre-Poe (berk) déjà là un appartement plein de vie (j'imagine)