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Les Chevaliers & le sarcasme ft. Arthur

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J.K. Rowling
J.K. Rowling
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Age : 27
Mer 3 Oct - 21:09
J.K. Rowling
Working with these fucking files over and over again.Tu n'es pas aveugle. Tu avais bien remarqué la façon dont réagissait ton collègue à tes mots. Le poing qui s'était formé sur sa jambe, son rire forcé... Disais-tu quelque chose de mal? Ou étais-ce les nerfs qui étaient en train de peu à peu exploser ? Tu ne sais pas, et peut être que tu ne souhaites pas savoir. Tu l'écoutais également parler, portant la tasse qu'il t'avait apporté à tes lèvres pour en boire la contenance. Cependant, dès lors qu'il coupait sa phrase en plein milieu, tu compris que oui, vous aviez sans doute besoin de déballer tout ce que vous aviez sur le cœur au lieu d'être comme des bombes à retardement. Vous aviez besoin de ça, c'est tout.

-Monsieur Doyle... vous savez si... vous avez besoin de passer vos nerfs, vous pouvez, ne... ne vous empêchez pas de dire ce que vous avez sur le cœur, je comprendrais parfaitement...

Tu allais répondre à ses mots, mais voilà qu'il fonçait dans un semblant d'explication, tes yeux bleus le regardait simplement, puis dès lors qu'il finissait, tu esquissais un petit sourire amusé.  Remettant ton écharpe correctement.  Oui, il pourrait t'aider, il te l'a dit mainte et mainte fois. Tu savais que tu pouvais avoir confiance en lui pour certaines choses, et il est vrai que si tu sais qu'il peut t'aider un peu par rapport à Rudy, tu n'allais pas dire non. Mais tes principes t'empêchaient de débarquer chez lui à l'improviste pour lui demander des conseils, tu n'étais pas comme ça, et rien ne te fera changer sur ce point.

- Merci beaucoup... il est vrai que je l'ai adopté un peu à l'aveugle alors que je ne me sens pas apte à m'en occuper réellement... d-du moins, je- Je n'ai pas l'impression d'avoir cet instinct de protection qu'offre une mère... ou une grande sœur... enfin- Bref, je... je me comprends...

Peut être que tu avais simplement besoin d’offrir de l'attention à quelqu'un, de vouloir protéger une personne. Tu avais juste besoin d'aimer quelqu'un. Pas en amour, mais porter quelqu'un dans ton cœur. Une personne, un enfant dans lequel tu remuerais Ciel et Terre pour t'assurer qu'il aille bien.

- un jour je... je vous présenterais Rudy . C'est...c'est l'enfant que j'ai ad...adopté... je... je suis sûre que vous pourriez bien vous entendre...

Il te rappelait ton frère biologique, dans un sens, même si tu n'en as pas grands souvenirs. Mais rien que les brides qui te restait pouvaient te permettre de te faire une idée de comment était celui que tu as tué aimé en tant que victime grand frère. A ces pensées, des larmes venaient au bord de tes yeux, tu te dépêchais de les essuyais avec un bout de ton écharpe, espérant que ton collège ne l'ai pas aperçue.

-Je sais que je peux compter sur vous en cas de besoin alors: Merci Monsieur Doyle, ça fait chaud au cœur de voir que nous ne sommes pas des robots sans sentiments comme on pourrait le laisser  prétendre...
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Arthur C. Doyle
Arthur C. Doyle
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Jeu 6 Déc - 14:13
Arthur C. Doyle

Les Chevaliers & le sarcasme ft. Arthur - Page 2 B19ebf35b6d31fd46f3b99504ea2b9f4

Dossier, my one and only true love

Il ne pouvait s’autoriser à laisser libre cours à ses sentiments, ce serait terrible. Montrer cette face cachée pleine de rage et de frustration. Il ne pouvait se faire confiance s’il se mettait dans un tel état : les voisins n’avaient pas à entendre un britannique hurler. Pour peu qu’il savait parler anglais aussi… Trop risqué. Arthur écouta plutôt ce qu’elle avait à lui dire, à propos de ses inquiétudes. S’occuper de jeunes enfants n’étaient pas de tout repos. Il avait toujours eut sa mère et sa soeur plus âgée avec lui, mais la jeune femme était bien seule. Le brun hocha la tête.

- Cela s’apprend, vous n’avez pas à vous inquiéter autant.

Il avait vu les larmes qui s’étaient échappées de ses yeux bleus mais ne fit aucune remarque pour ne pas la gêner. Pourtant, ils brillaient d’une lueur similaire aux sien. Regret, culpabilité. Il continua comme s’il n’avait absolument rien vu.

- J’ai hâte de le rencontrer.

“Nous ne sommes pas des robots sans sentiments”. Il avait tendance à l’oublier. Tous ces gestes effectuaient mécaniquement, les mêmes tous les jours. Café. Travail. Café. Travail. Café… Ils n’étaient donc pas des machines que l’on faisait bouger comme bon semblait.
Arthur eut un doux sourire empli d’honnêteté.

- Cela m’a fait plaisir de parler avec vous, et j’en éprouve d’autant plus à vous aider. Avez-vous mon numéro personnel ? Que vous puissiez me contacter quand bon vous semble.

Peut-être Agatha lui avait-elle donnée ? Qu’est-ce qu’il en savait, la femme était pleines de mystère - et de fourberie. Non, ne repensons pas à cela. Gardons cette note positive, elle fait du bien.
Pour une fois.

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J.K. Rowling
J.K. Rowling
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Age : 27
Ven 7 Déc - 13:22
J.K. Rowling
Working with these fucking files over and over again.Oui, tu savais que cela s’apprenait, mais ton ton inquiétude était beaucoup trop grande pour toi. Pour tout dire, l'inquiète était une notion que tu connaissais bien trop. Ton quotidien est sûrement rude pour les personnes extérieurs à ce dernier, mais la boule au ventre, l'envie de pleurer quand les nerfs sont trop tendus, tout ça... l’inquiétude, la panique... C'est dur, vraiment. Tu hochais tout de même la tête. Tu essayerais de diminuer cette appréhension, cette peur de faire une autre erreur. Un effort comme un autre, mais tu es consciente que tu es une femme assez fragile sentimentalement comme mentalement. 


- Je pense que... qu'il serait content de vous connaître.


Tu esquissais un sourire pour mettre de la sincérité dans tes paroles qui étaient réelles. Rudy était un enfant adorable, et sûrement qu'il s'entendrait bien avec Doyle, du moins, tu l'espérais... Tu t'en sentirais coupable si ce n'était le cas. Tu vis le sourire doux qu'esquissait ton collègue. Tu lui souriais en retour, ce moment était agréable. Simplement parler, et ne pas taper sur un ordinateur. Voilà la vie dont tu rêvais; mais que tu n'aurais sûrement jamais. Ton passé t'avait bien apprit que la vie t'en voulait, d'une quelque façon que ce soit. 


- Et bien... il ne me semblerait que non. Agatha ne donne pas les numéros, et je pense que c'est bien par moment... oh!



Tu avais prit une petite sacoche, regardant à l'intérieur, tu vis un morceau de papier, et vu que tu avais toujours un stylo sur toi... tu décidais de lui donner ton numéro personnel au cas où. Que ce soit pour le travail, ou même autre, au moins, vous pouviez vous contacter quand vous en aviez le besoin. Tu le donnais d'un délicat sourire aux lèvres. Tu regardais la montre à ton poignet. Eh. Il commençait à se faire tard. Tu te levais, remettant ton écharpe pour ne pas plus attraper froid.



- Bien. Je vous remercie de cet instant très agréable Monsieur Doyle. Il commence à se faire tard, je crois que le vent se lève, je vais me dépêcher de rentrer pour continuer ces incroyables dossiers. 


Toujours un sourire aux lèvres, tu te dis que ta soirée allait encore être arrosée de café, de coup de crayon sur un papier. Ahhh, agréable.
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