une réunion, une réunion D'accord pourquoi pas (de toute façon Faulkner ne peut pas vraiment dire non au Boss) ça risque d'être chiant il va falloir s'occuper un peu certainement surtout avec le ramassis d'idiots qui son mes confrères Mais pas le choix Faulkner se pointe (et à l'heure) bon qu'est-ce qu'ils nous veulent il s'est mis dans un coin assis le plus loin possible de tous les autres (surtout du fermier à la con là, lui Faulkner le déteste particulièrement) un peu au fond comme un mauvais élève et il a t t e n d
oh
oh Quelle jolie dame oh oui elle est vraiment superbe Faulkner a les yeux happés quelques secondes Il cligne des yeux S'assure que c'est bien réel que C'est- mais oui mais Qui aurait cru que faire partie de la Guilde me fasse rencontrer une personne aussi belle Ah Le voilà médusé elle serait parfaite en kimono
quel dommage que les voix si disonantes du Boss et de l'autre con viennent entacher cette belle vision (Mais au moins Faulkner redescend sur Terre) le brun reprend ses esprits essaie de se faire Discret (difficile, surtout pour lui) continue à apprécier cette superbe femme (tout le monde la regarde… ça ne sera pas suspect et j'en profite, Faulkner a tout compris)
il écoute d'une oreille distraite tout ce qui se Dit (un paysan qui beugle pour rien, Mr. Nietzsche égal à lui-même et quelle belle voix elle a cette femme) pas grand chose d'intéress— ok j'ai rien dit Faulkner est un petit con et Faulkner éclate de rire quand il voit l'autre laideron voler. Joli, Boss ! Finalement cette réunion en valait bien la peine
Moi je ne crois pas avoir des choses à di—?! pourquoi pourquoi pourquoi est-ce que l'autre tomate, là elle sort de sous les tables et Comment se fait-il que je ne l'aie pas remarqué (trop occupé à se rincer l'oeil, Faulkner ?) toujours est-il que cet individu est tordu et même si C'est amusant c'est aussi fort déplaisant ce qu'il fait là. Tch.
ne pas se faire remarquer ? trop dur pour Faulkner (de toute façon je ne suis même pas le pire ici) Faulkner se lève (l'air irrité) rejoint l'autre aliéné là et
l'écarte
tout simplement. "Mr. Carroll, n'oubliez pas vos manières, même si je cautionne votre question, je ne crois pas que vous puissiez être si familier envers cette dame" qu'il fait (qui êtes-vous et qu'avez-vous fait à William Faulkner) Pendant la tirade (encore) de l'armoire à glace Il garde un bras autour de la taille de cette grande perche rouge (faudrait pas le laisser y retourner quand même) Et un sourire faux.
et puis il s'adresse directement à cette beauté qui se tient non loin (en japonais puisque lui il maîtrise cette jolie langue)(pour montrer aussi qu'il ne porte pas de kimono que pour faire joli enfin si quand même) "je vous offre mon aide avec plaisir, Ozaki-san", qu'il sourit simplement Et ça n'a plus rien de faux.