la plus belle femme de toutes qu'il a envie de répondre, Faulkner Mais il a bien senti qu'il ne valait mieux pas s'aventurer sur ce terrain-là ahem "c'est bien le problème des Américains, je le reconnais. Si égocentriques…" (et il sait bien qu'il en fait partie) "j'espère que leurs manières ne t'importunent pas trop…" (parce que moi si)(cherchez l'erreur)
enfin Bref "excuse-moi" Faulkner se tient à l'écart Il se sent presque menacé par son invitée (et rien, non rien ne l'incite à désobéir) invitée qu'il respecte (ce qui est bien rare mais dès le début il a su qu'elle serait spéciale) et qu'il contemple.
Pourquoi se refuser à une si belle vue qui lui est offerte alors qu'elle aurait pu lui demander de sortir, de fermer les yeux ? Ozaki-san se présente de face (et Faulkner sourit) dévoile un corps tout à fait plaisant tout à fait désirable tout simplement très beau. Faulkner voit aussi une cicatrice et un tatouage (à quoi m'attendais-je de la part d'une mafieuse ?) Mais la contemplation se termine bien trop vite (ce qui est pour le mieux quant on connaît la Suite)
il acquiesce et sort tous les accessoires qu'il faut de son tiroir "évidemment, Ozaki-san. j'ai tout ce qu'il faut", sourit-il calmement (même s'il est joueur, Faulkner) délicatement il manipule le tissu Comme s'il avait fait ça toute sa vie le déroule, l'enroule à nouveau le fait glisser contre ce gracieux corps de femme. Bien Sûr qu'au passage il profite un peu (il frôle, il apprécie les courbes, les détails de cette beauté se permet le contact qu'elle-même avait osé avec finesse avec délectation) "bien que je n'en aie jamais douté, tu avais raison à propos de cette couleur", dit-il simplement alors qu'il manipule la ceinture. (il écarte quelques mèches roses qui auraient risqué de se prendre dedans et quelle belle chevelure !)
Il n'en faut pas plus pour satisfaire Faulkner.
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Kôyô Ozaki
闇に咲く花
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Lun 23 Avr - 8:40
Kôyô Ozaki
Kôyô a un petit sourire en coin. Oh. Essaierait-il de faire celui qui approuve chacun de ses éternuements pour se faire bien voir? Elle ne pouvait le dire encore mais cette idée restait dans un coin de son esprit.
- Peu importe leurs manières ou leurs défauts. Leur plus grande qualité me fait tout oublier: ils ne resteront pas.
Cette alliance menée à terme, une fois avec le chaton de gouttière dans leurs cales, ils partiront et Kôyô aurait beaucoup de choses dont il faudrait s'occuper. En attendant la jeune femme se laisse faire. Après tout, se faire habiller de la sorte est une occasion rare. Il fallait qu'elle estime quelqu'un un minimum pour le laisser toucher ses kimonos et les lui mettre, tous ne sachant pas forcément quelle démarche suivre. Mais aujourd'hui, il ne s'agissait pas de ses étoffes, mais de celles d'un autre, alors elle ne dirait rien. Enfin... en dehors des taquineries bien sûr.
- Gestes précis, aucun pli... aurait-on donc l'habitude à ce point d'habiller les autres?
En d'autres termes: suis-je la première à être habillée ou d'autres ont-elles/ils déjà eu ce privilège? Après tout, il était arrivé à Kôyô de laisser certains de ses amants la rhabiller aussi (enfin, ce qu'ils savaient faire), peut-être que ce jeune homme faisait de même? Il ne semblait pas du tout du genre timide malgré ses airs intimidés, nul doute que son côté américain le rendait beaucoup moins prude que les Japonais du même âge.
- Que suggères-tu pour les cheveux?
William Faulkner
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Mar 1 Mai - 10:47
William Faulkner
beauty is all that matters, right?
Faulkner ne doute pas qu'Ozaki-san comprend parfaitement son petit jeu Mais n'est-ce pas ce qui le rend si appréciable ? il l'écoute juste parler (pendant qu'il termine) c'est dingue même sa voix est superbe
et D'ailleurs ses mots résonnent un peu trop amèrement dans les oreilles du brun (Ah qu'est-ce que j'aimerais bien partir moi aussi rester au Japon me débarrasser de ces rustres) (C'est qu'il n'aime pas beaucoup de monde dans cette fichue Guilde je suis certain que je me plairais mieux ailleurs Mais encore Faut-il trouver un travail énorme blague)
c'est un rire amusé qui s'échappe de ses lèvres après cette remarque de la rousse "eh bien, c'est possible… même si le kimono est particulièrement spécial, tu n'es pas la première~" qu'il répond, joueur À quoi bon lui cacher ce genre de choses ? c'est que Faulkner même s'il n'a pas spécialement envie de parler de lui (qui l'eût cru) est content qu'elle s'intéresse (Il en faut peu… Comme dit la comptine)
Ayant terminé avec le tissu il la regarde quelques instants Et il n'est pas déçu (pas le moins du monde) mais Elle a raison Ozaki-san il reste ses jolis cheveux Il s'écarte un instant pour regarder et réfléchir "Tu disais vouloir les garder détachés ?" hmmmmmm Déjà ça limite les choses à faire (même si on ne va pas les laisser comme ça) "on peut les onduler pour donner plus de volume, ou en tresser certains…" c'est qu'il semble réfléchir à voix haute et dans tous les cas il a ce qu'il faut pour faire À peu près n'importe quoi
"j'ai des accessoires aussi, bien sûr…" et il en sort quelques uns d'un autre tiroir Ils sont de bonne facture (des fleurs principalement, des perles et des plumes autant dire qu'il y a du choix) "est-ce que tu as des préférences ? ou j'ai le champ libre ?", sourit-il malicieusement
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Kôyô Ozaki
闇に咲く花
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Mar 8 Mai - 12:28
Kôyô Ozaki
Ce tissu sur sa peau était une vraie merveille. Cela ne faisait pas si longtemps qu'elle avait dû laisser tomber ses vêtements traditionnels mais ils manquaient déjà à l'ex-cadre. Il y avait un maintien, une élégance qu'elle avait plus de mal à retrouver dans les vêtements occidentaux. Kôyô se permit de s'observer dans un miroir, admirant les motifs et les couleurs en contraste avec sa peau et ses couleurs habituelles. Ce jeune homme avait bon goût en effet, autrement elle ne se serait pas intéressée à lui remarquez.
La jeune femme le laissa alors réfléchir sur une solution pour ses cheveux. Elle les aime bien détachés mais il a peut-être une idée intéressante. Autant pousser le caprice jusqu'au bout. Une moue vint d'ailleurs tordre légèrement ses lèvres lorsqu'il proposa son idée.
- Non, pas d'ondulations. Je ressemblerai sinon à ces jeunes qui essaient de se faire passer pour des personnages inexistants aux looks improbables. C'est sans doute bien pour eux, mais pas pour moi.
Et puis quoi encore? Des mèches vertes? Non, ses cheveux étant naturellement assez raides, les onduler irait à l'encontre de ce que la nature avait prévu pour elle, alors qu'il fallait justement sublimer ce qu'elle avait donné... Et Kôyô pensait par moments que celle-ci avait été quand même généreuse avec elle.
- Allons-y pour les accessoires.
Pourquoi pas? Elle en portait d'habitude, enfin avant, voyons ce qu'il allait proposer pour correspondre au kimono et à ses cheveux en même temps. La japonaise prit alors délicatement place dans un fauteuil, sourire au coin, attendant que son styliste personnel passe au travail.
- Surprends-moi.
Ses mains passèrent dans ses cheveux, les plaçant sur le côté afin de dévoiler sa nuque blanche mise à nue par le placement du kimono. Pour les Japonais, cette zone était assez érotique. Cela dit pour Kôyô, cela reflétait avant tout l'anticipation. Elle avait toujours préféré les amants qui avaient su "préparer l'acte" et une main qui glissait délicatement le long de la nuque pour passer le long du cou avant de, peut-être, se glisser sous le tissu pour caresser ses formes féminines était d'une sensualité délectable. Ce cher William et elle n'étaient pas dans cette situation mais pour le jeu, pourquoi ne pas faire "comme si"?