Edgar s’était relevé du siège et se tenait maintenant debout près des deux hommes, il avait bien compris maintenant que cet homme voulait le deuxième plan, donc surveiller ici et essayer de trouver une solution. Le brun n’était absolument pas contre cette idée, justement, c’est celle qu’il aurait choisie, c’était parfait. Il accorda un hochement de tête à son « collègue » du moment et n’hésita pas un instant à leur mettre le livre devant les yeux, leur faisant même tenir pour la peine. Il recula légèrement et quand les deux bandits commencèrent à regarder plus ou moins les lettres, l’américain activa son pouvoir, les entraînant tous deux dans les cauchemars du livre qui se faisaient assez réalistes pour le coup. Ils venaient d’être absorbés.
- C’est bon… Vous restez là, je vais aller désactiver la bombe en premier lieu… Mh.. Si il y en a qui savent désamorcer des bombes ici je suis preneur.
Et comme prévu, quelqu’un sembler se lever dans le wagon, un ancien militaire, comme Edgar, mais qui lui était plutôt dans tout ce qui était armes tout ça. Et après avoir réfléchi quelques secondes, l’écrivain fit part à l’homme qu’il fallait chercher vers le milieu des wagons ou près d’une source d’essence ou de gaz. Ensuite il ne manquait plus que la petite fille. Est-ce qu’il allait la chercher ou est-ce qu’il restait là avec l’homme en bleu ?
- Je.. Vous pensez que j’aurais le temps de chercher la petite fille ?
Il avait aussi bien remarqué la dague qu'il avait attrapé. Est-ce que c'est courant de se balader comme ça ? Non pas vraiment, mais pour le moment le brun ne voulait pas trop se poser de questions et agir.
Tient, le pouvoir de l'homme s'activa. Wow, il est cool son pouvoir, comme.. ennuyeux. Il fallait toujours avoir un livre sur soi pour qu'il soit utile, donc bon. Ouais, sympa, mais y'avait mieux. Un homme qui savait désamorcer les bombes étaient présent dans le wagon. Yukiru ne pensait pas que ça se trouvait ce genre de gars. Quoi que si.. si c'était un ancien militaire, c'est plus aussi étonnant en fait. Mais Sugisaki n'a pas la tête d'un homme qui sait réfléchir ni quoi que ce soit hein, donc laissez le être étonné d'une chose potentiellement banale, merci.
Le jeune homme gardait toujours sa dague en main, même si il aurait pu sortir la deuxième, mais il pense que ça fera mal vu, et il a pas tord, donc déjà une seule c'est suffisant.
- Bien sûr que vous aurez le temps.
Il soupire. Bien sûr qu'ils auront le temps héhéhé, oui, non mais en fait Yukiru n'est pas tout à fait rassuré de l'affaire en fait. Les deux gars étaient toujours enfermés dans son livre, alors le mafieux, de ses yeux saphirs vint déposer son regard sur l'homme au raton-laveur.
- Je pense que je peux vous venir en aide.
Je p e n s e que je peux tout faire foirer aussi, mais chut. Yukiru reprit son précieux manuscrit et le mit sur un siège, bien à sa vue, comme ça il pourra voir quand ils sortiront de là.