Ptn t'es à 30 fdpSinon pour une fois c'est pas pour battre le record que je viens t'insulter, promis.
Tu rigoles encore, tu vas vraiment finir par réveiller tout le port hein. Est-ce que tu t’en fous ? Totalement oui. Ils ne méritent pas de dormir bien tranquillement alors que vous n’y arrivez pas hein. Tu passes nonchalamment une main dans tes cheveux, histoire de ne plus avoir de mèche dans les yeux. C’était quand même mieux. Plus pratique aussi.
« ▬ Nah, du tout. Enfin, s’il reste que ça hein, j’pourrais m’y faire. Ouais sans doute. Bah je serai plus confortable écoute. C’est peut-être pas plus mal que ça. »
C’était bien ça aussi un peu ton problème, de te foutre un peu de tout, y compris de ton apparence. Mais tu préfères ça à vérifier tout ce que tu manges, et b o u g e r là. Non t’es vraiment bien contre lui à l’écouter, écouter le presque silence qui vous entoure aussi, la nature se réveiller petit à petit.
« ▬ J’espère b i e n. Y a rien de pire que de perdre ses cheetos quand même. »
Du t o u t. En tout cas, tu n’apprécierais vraiment p a s. Ce serait le drame du jour, de la semaine peut-être. T’étouffes un léger spasme de rire à nouveau. Parce que tu t’es imaginé avec un citron à la place de la tête oui. Incroyable.
« ▬ Oooh, t’as quelque chose contre les têtes de citron ? Mon père imaginaire en a une, alors fais attention à c’que tu dis. Non mais, j’avais mangé une tarte au citron un peu avant. Ca a dû jouer. »
Encore et toujours la bouffe. Oui. Mais ce n’était pas de ta faute si tout était si bon.
« ▬ Larry. L a r r y. Naah. C’est très bien Lemony. Ca sonne mieux. Puis ça ressemble un peu à Jiminy Cricket. »
Et tout le monde aimait Jiminy Cricket, oui. Juste à ce moment là, y a un papillon de nuit qui arrive. Qui arrive et qui vient se poser sur ta main. Tu le laisses quelques instants, avant de bouger les doigts. Mais il revient. Tu les bouges à nouveau avant de souffler dessus. Et là, ça fonctionne.
« ▬ Totalement, et franchement, c’est le plus important. Ca et qu’elle soit heureuse. »
C’était toujours passé devant tout, devant toi. Même si tu lui as cédé ton téléphone, tu laisses ta tête tournée quelques instants, pour pouvoir regarder un peu l’écran. Et sourire. Tu pourrais les fixer éternellement sans aucun problème. Même si tu commences à les connaître par cœur.
« ▬ Ehe. Il est vraiment incroyable. Quoiiii, tu doutais de mes goûts en plus ? Je vais bientôt être outré. »
Jamais. Mais c’était plus drôle à dire. Tu te foutais de ce que les autres pouvaient penser. Parce que toi t’étais heureux avec tes quelques connaissances. Tu reprends ton téléphone, tu soupires un peu ; Pourquoi tu t’enfonces toujours dans des situations impossibles.
« ▬ Elle…Elle est morte. J’ai peur que si je tente quoique ce soit, il ait l’impression que je veuilles la remplacer ou, pfrt, j’en sais rien. »
Tu sais que ça finira mal, ça finit toujours mal. Tu penches encore un peu la tête.
Quand tu veux uniquement. Mais c’est déjà ça. Et bien. Il aurait du mal à boire ? Comment cela se fait-ce. Ce n’était pas le genre de réaction à laquelle tu t’attendais. Tu ne voulais pas te moquer de lui, ni même qu’il en at l’impression, alors tu te retiens de rire et tu te contentes de sourire.
« ▬ Quoi, tu préfères que je le dise en costume tyrolien en te chantant du yodle peut-être ? Je sais que tu le sais, mais, j’avais envie de le préciser quand même. »
Si c’était important. Même très. Mais t’as plus envie de rire. Du tout. Juste de nouveau d’être sérieux. Tu tournes une nouvelle fois la tête pour essayer de le regarder.
« ▬ Eh. Tu le seras pas. Enfin, pas tant que je vivrai. Vraiment, si t’as besoin de quoiqu’ce soit, n’importe quoi, n’importe quand, envoie-moi un message, okay ? »
leurs voix leurs rires leurs idioties résonnent dans le port Faulkner est vraiment à l'aise Encore plus bruyant que d'habitude (oups) "moi je pourrais pas… imagine un monde sans cheetos, déjà. af-freux." Oui c'est Tout ce qui M'importe "pas faux… tu serais mon oreiller~" (et J'en serais content)
et il rit encore et il mange encore (des cheetos Le Paquet est bientôt vide) "si, perdre ses cheetos et Moi en même temps~" (oui mes chevilles vont bien Merci) "elle s'en remettra jamais…" j'aurais presque Pitié
Pfffff mais ils ne s'arrêteront jamais de dire Des conneries (Faulkner n'en aurait pas du tout envie, même) "si t'avais mangé des cheetos tu te serais appelé Cheetosy Snicket alors ? t'aurais été de la même famille que Francheetos, eh" (j'aurais pas aimé) "j'crois qu'il a entendu ton appel Jiminy…" ajoute-t-il en voyant ce beau papillon J'adore les papillons (si jolis si fragiles) ah
Faulkner le regarde partir regarde le Jour commencer à poindre
Un Petit Hochement de Tête s'il était paumé tout à l'heure maintenant ça a l'air Mieux. lâche donc cette femme Ray m'inspire beaucoup plus.
"oui j'aurais pu douter, difficile de pas le faire quand on voit ta gueule~" (c'est Affectueux, bien sûr) et "aaaaah, chaud" une Pause (un silence flotte) "je peux pas trop te dire… j'le connais pas. maiiiis selon les circonstances t'as ptet ta chance ? déjà il doit t'apprécier pour traîner encore avec toi hein, peut-être que ça passerait, j'sais pas moi. on sait jamais, même"
Il penche la tête et Je hoche la mienne (Oui ce serait amusant) "y a intérêt à ce que tu le sois~ déjà que je te fais l'honneur de t'apprendre, hein~" qu'il fanfarone Faulkner "on commencera demain." Rien de mieux à faire, Hein ?
il s'est penché un peu en Avant pour Tousser, le petit Kssshhh C'était Quoi Cette réaction ? J'ai été Surpris voilà tout Oui je ne me Hrrrm Bref (Comment on accepte un compliment comme ça ?)
"ouais j'aurais préféré ouais. je rêve depuis toujours de t'entendre chanter du yodle après tout" (pfiou C'est reparti pour les bêtises) Faulkner est plus à l'aise avec ça. Hm? le regard de Snicket attrape (en plein vol) le sien
"ouais… okay." (trop Calme Faulkner) (touché) "merci…" un tout petit sourire et Il se tourne Pour faire un câlin (Juste Quelques Minutes hein je suis pas une guimauve) "toi aussi, hein ? appelle si t'as besoin… tu as bien fait, ce soir."
Ptn t'es à 30 fdpSinon pour une fois c'est pas pour battre le record que je viens t'insulter, promis.
Il a vraiment quelque chose d'apaisant, William. Tu saurais pas comment expliquer exactement. Mais si il n'y avait pas ça cette espèce d'alchimie tu ne serais pas là non plus. Tu n'aimais pas perdre du temps avec des personnes que tu n'appréciait pas. Sauf si tu y étais obligé, mais tu ne faisais aucun effort pour montrer de la sympathie. Ni de l'intérêt. T'avais déjà essayé dans le passé, et ça n'avait rien donné. Juste de la grosse merde. Fin.
“ — Oh mon Dieu. Sans a u c u n Cheetos?? C'est plus une vie. Je préfère encore me suicider. Ouais. Ton oreiller portatif. Puis j'amortirais beaucoup plus les chocs, c'est plus pratique non ? „
Puis comme ça tu ne t'en veux pas de te goinfrer a moitié de ses chips qui ont rendus tes doigts oranges. Tu te doutes qu'ils sont bourrés de trucs chimiques mais tu continues de les manger. Tu t'en délecte même.
“— En même temps, elle risquait pas mal de choses en passant la nuit avec le célèbre voleur de Cheetos hein. C'était a ses risques et périls. „
Tu manques de recracher un des chips. Tu t'etouffes avec cette poudre goût fromage. Aah ta bouche est toute sèche. Haelp. Heureusement la sacro-sainte bière est la, elle te sauve. Cheetosy Snicket, l'idée du siècle. Autant de gens ne seraient pas au courant de ton faux prénom que t'aurais changé directement.
“ — J'aurais dû, mais tellement dû pour Cheetosy. Ah bah on l'aurait appelé autrement. Genre Fitzguirlande. Mais c'est beaucoup plus vite cramé. Hehe, on dirait bien. Faut croire qu'il aime bien Lemony aussi. „
C'eût été triste que ton hommage ne tombe à l'eau parce qu'il ne l'aimait pas. Mais tu pouvais être rassuré. Et peu à peu ce vide, ce nœud qui t'empechaient de dormir, ils se comble et se défait. T'y vois un peu plus clair dans ce que tu veux. Comme quoi la solution n'avait pas été de te renfermer pendant des années sur toi même. T'avais juste perdu du temps. Et gagné des épisodes de dépression plus ou moins forts, bien.
“— C'est triste de douter de mes goûts alors que tu sais que je t'aime bien. Tu te sous estimerait au fond ? „
TU n'y crois pas, vraiment pas. Comme tu ne crois pas à tes chances. C'est pas comme si tu en avais déjà eue beaucoup hein. Ou alors tu ne fais pas attention. Ce qui serait vraiment triste. Mais t'as jamais été très confiant. C'est xon, t'aurais pu accomplir plein de trucs.
“ — O-ouais. Il m'a déjà invité à dormir chez lui. Ça veut rien dire mais il dojt quand même m'apprecier un minimum. Mmmh. J'aurais bien essayé la subtilité mais j'en suis incapable. Je verrai, j'ai peut être juste.. Une passé ? Si ça s'éternise je... J'essayerai de me bouger.„
Mais oui bien sur et Beatrice aussi c'était qu'une passe. Tu te connaissais bien quand même. Tu t'entichais de presque personne mais quand c'était le cas, c'était la fin du monde.
“— Tu me dirais de commencer maintenant que ça m'irait tu sais. Et comment je peux remercier sa Grandeur de sa bonté ? „
IL va arrêter de s'étouffer hein ? Il ne va pas mourir par ta faute ? Non il s'en remet. Ça va. Parce que tué par de la sincérité hein. Ça serait con.
“— Je chanterai tes louanges en yodle alors désormais. Tu veux bien me faire le costume ? „
Il est sans doute plus doué hein. Mais il a l'air tout aussi doué que toi avec cette amitié au fond belle et bien basée pas que sur la connerie. C'est gênant mais de manière positive. Incroyable. Tu lui souri, un vrai sourire. Le câlin tu t'y attendais pas. Mais t'en avais affreusement envie. Et besoin. Alors tu le lui rend, tu profites de sa chaleur, c'est rassurant.
“— P-promis. Et merci aussi. Totalement, je sais pas trop ce que j'aurais fait sinon. T'envoyer plein de messages. Même peut être juste des points, ça aurait pas été productif. „
ce qui est Bien avec Snicket c'est qu'il me comprend totalement que Ce soit de la merde ou des âneries ou de gravissimes idioties Il comprend toujours. Faulkner acquiesce "mais moi aussi, clairement. à quoi ça sert si on peut plus grignoter des conneries à 5h du mat', hein." qu'il ricane "aww mon oreiller attitré~ oui ce serait très pratique, tu devrais grossir en fait" (Non) (juste Non)(Mais bon)
d'ailleurs Les idioties n'en finissent pas (Faulkner apprécie C'est rare qu'il puisse dire autant de conneries) "c'était un crime parfait… elle s'en mordra les doits" (hochement de tête)
(éclat de rire Encore) "Cheetosy qui s'étouffe avec un de ses semblables… une mort atroce et ironique" (mimique dramatique) "nous le regretterons, c'était un prophète… incompris de tous et pourtant un exemple de sagesse" (The End) "Fitzguirlande c'est… trop festif. Ripgerald peut-être ?" Question très très importante Le surnom du Boss.
le son d'une vague un nuage qui passe Je ne vois pas le temps défiler. qui eût cru que Parler fût aussi facile ? que Ma nuit fût aussi douce ? C'est bien Apaisant Vu comment elle avait débuté. (j'apprécie)
"haaa ?" f u c k (outré Je n'avais pas vu ça comme ça) "n'importe quoi ! je suis l'exception, c'est im-po-ssible de ne pas m'aimer, hein. voilà" Non Je ne me suis Pas du tout Perdu dans mon (ar)raisonnement Grmph.
Mais les Potins le rattrapent Faulkner (oh oui J'adore ça) Il claque (un peu) ses mains "bah voilàààà ! tu voiiiis !" (enthousiasme) "moi je suis sûr que ça pourrait. c'est quand même spécial hein d'inviter à dormir. surtout avec sa gueule d'ange là…" (réflexion) "ouais tu fais bien… attends un peu mais tu sauras vite je pense ?" en Tout cas Moi je soutiens.
"jeeee sais mais… moi j'ai la flemme. on verra demain il va pas s'envoler ton Ray, hein." oui Je suis fatigué (mais juste un peu Je ne veux pas dormir…) "hmmmm" le petit caresse une Barbe imaginaire "tu pourrais m'emmener au resto. c'est bien ça, ouais~" Et Voilà une excuse de plus pour Manger (avec toi)
d'Ailleurs comme Si J'y connaissais quelque chose moi en yodle "je sais pas coudre hein…" Terrible Aveu je sais "mais on se débrouillera, je ne voudrais pas brider ton talent" hihihi (petit rire narquois) Détendu Faulkner il écoute et déblatère des tas de Bêtises mais c'est comme Ça qu'il apprécie être avec un ami.
le coeur qui se réchauffe les muscles qui se détendent un mini-soupir de Soulagement. M'ôterait-il un poids ? Finalement il va rester encore un peu là… (ça fait du bien) "pffff les messages de points c'est les pires. on est mieux ici quand même" Stricte vérité
Ptn t'es à 30 fdpSinon pour une fois c'est pas pour battre le record que je viens t'insulter, promis.
Tu fermes légèrement les yeux, même pas spécialement par fatigue. Tout simplement pour mieux profiter du moment, sans avoir les quelques phares des voitures qui passaient au loin. Comme quoi la vie est nettement plus agréable à 5h du matin. Mais en même temps, tout est nettement plus agréable avec de la bouffe aussi. Saupoudré de conneries, c’est totalement parfait. Tu n’as absolument rien à redire sur le moment actuel même.
« ▬ Ca ne servirait à rien. Voilà tout. T’as vu ? Ouais bah faudra que tu t’occupes de me gaver pour ça hein, parce que la seule chose qui me retiens d’être obèse, je crois bien que c’est ma flemme. »
C’est bien, ça faisait presque un juste milieu comme ça. Et tu ne t’en plains absoolument pas. T’as mieux à faire. Ecouter ses conneries, renchérir. Et recommencer presque en boucle. S ça ne lui plaisait pas, il ne ferait pas la même chose.
« ▬ Totalement. Tu devrais trouver une signature bien personnelle pour tes crimes. Genre un cheetos écrasé mais…Le temps que tu gagnes un endroit calme ils risquent d’être éventés, et ça, c’est parfaitement i m m o n d e. »
L’espère de carton là. Tout le monde s’en passait. Ou alors il faudrait juste les donner à tes ennemis. Tactique fourbe, mais tu préférais ça à foncer tête baissée, ou encore plus, à faire preuve de courage. horreur, enfer et damnation.
« ▬ Ouaiis, mais ils sont j-jaloux de moi, alors ils essayent de m’ a v o i r. Mais m’enterre pas si vite, j’suis plus dur à tuer que ça quand même. Aah ouais, c’est festif, mais en même temps ça a un côté un peu too much ! Ripgerald. C’est p ar f a i t. Bientôt, on aura une collection à lui proposer. On lui demandera lequel il préfère, puis on optera pour celui qu’il aime le moins moi j’dis. »
Le respect toujours le respect. Cette chose qui se méritait si difficilement. Qui se trouvait tellement difficilement aussi. En tout cas, actuellement, s’il est présent, il ne vole pas haut. Ou il a déjà trouvé la porte de sortie dpuis longtemps peut-être, aussi.
« ▬ Ehe, c’est ça. Mais bon, j’accepte l’excuse même si eeelle me semble un peu bancale. Enfin, si c’est le cas, tu seras bientôt la mascotte de la Guilde, ça doit être assez intéressant comme poste. »
Surtout très nul oui. Mais qui n’essaye rien ne peut pas donner son avis dessus hein. Et en palant d’essayer, ce serait bien un verbe auquel tu devrais t’habituer, petit à petit. Plutôt que de t’enliser à moitié dans tes erreurs passées, et te fournir toutes les excuses possibles pour ne pas faire ce qui t’emmerdait le plus ou te faisait peur. Comme l’inconnue, ou te reprendre un râteau monumental. Tu ne peux pas t’empêcher de sourire face à l’enthousiasme de l’autre. Il a sans doute raison.
« ▬ Mmh, ouais c’est vrai. Eh, maintenant peut-être qu’il le fait avec tous ses potes aussi. Ouais, je l’inviterai aussi genre à venir prendre un verre, ou quelque chose comme ça pour qu’on passe plus de temps ensemble, et je verrai si ça le botte tout comme si ça se confirme ou non pour moi. »
Autant y aller petit à petit. T’étais même motivé à lui envoyer un message là tout de suite, avant de te rappeler que vu l’heure, ce n’était pas trop conseillé. Peut-être d’ici une heure si tu tenais toujours, tu te souvenais qu’il commençait à travailler assez tôt, dans ce cas-ci, c’était plutôt pratique.
« ▬ Pfpf, pour une fois que je l’ai pas.Eeeh, on sait jamais, faut se préparer à toutes les éventualités. C’déjà une chance qu’on se soit retrouvés ici en partant d’Amérique, eh. »
Tu n’en revenais toujous pas, mais est-ce que c’était grave ? Non, pas tellement. Tant que ce n’était pas négatif, tu n’allais pas te prendre la tête non plus.
« ▬ Ooh, ouais, ça pourrait être s u p e r cool. J’espère pour toi que t’as pas facilement honte, parce que seloon mon humeur, je pourrais plus ou moins bien me tenir. »
Histoire de pimenter le repas. Et ça ferait encore plus de souvenirs. C’est sûr et certain.
« ▬ Baah alors on apprendra ensemble ? A condition que personne ne se batt à coup d’a i g u i l l e s. »
Il valait mieux quand même hein. Même si t’en avais pas peur, ce n’était pas du tout une r a i s o n. Mais vous finirez sûrement par en lancer sur quelqu’un par contre. C’est inévitable. Comme peut-être ce câlin ? T’avais l’impression que cette soirée se serait de toute manière finie comme ça. Et t’en est bien content. T’oublie le reste, tu profites juste.
« ▬ Non, les pires ce sont les notifs quand tu me bats au basket. Mais ouais, beaucoup mieux. On aurait peut-être même dû faire ça avant. »
il Acquiesce le petit Encore une fois je suis bien d'accord. "oh ça t'inquiète pas, je continuerai à voler des Cheetos dans l'ombre… s'il n'y a que ça pour avoir un super oreiller, considère-toi déjà obèse~" (un petit rire, encore)
"signer mes crimes…" Pensif, Faulkner j'écoute Mais non non non non ça ne va pas Hors de Question d'éventer les cheetos. "de toute façon si touuus les cheetos disparaissent d'un coup… on saura qu'il y a un coupable. je serai célèbre et inconnu à la fois~" Si ce n'est pas Beau (un tour et un détour dans la Connerie)
Quand Même les Cheetos sont tout à fait au centre de la (soirée) discussion C'est impressionnant Aussi Absurde que mon existence (C'est pour ça que Je les aime) "j'espère bien, sinon je devrais manger ce pauvre paquet tout seul… mais je fais attention à ma ligne, moi." (mimique de pétasse) "ouais j'suis bien d'accord. Fitzguirlande, Ripgerald, Francheetos, Fitzpacito, Flouzegerald, Francarton…" Et Ça Défile encore encore et Encooooore (j'ai un talent pour ça) Aussi vite que l'Apoecalypse
"Mascotte ? c'est vrai que je pourrais… vu mon charisme et mon talent pour les jeux de mots, je ferais le meilleur job du monde. me remets pas en question c'est pas la peine~" Je Sais Ce Que Je Dis (de la merde en l'Occurence) "mascotte… non" (je vaux mieux que ça) Faulkner est bien trop emporté par toutes ces Idioties (ça fait passer le temps) j'apprécie.
et j'aime aussi voir son moral qui remonte la pente ses doutes qui perdent du terrain. (Encore Plus d'énergie) "bah voiiilà. tu vois quand tu veux. c'est une bonne idée et tu l'as eue tout seul comme un grand, on n'avait même pas commencé les cours~ si tu veux être un peu subtil c'est bien de commencer comme ça… et puis tu pourrais tâter le terrain s'il a un peu bu, peut-être" (mais Quel professionnel, Faulkner) "peut-être que c'est le destiiin, ouuuh~" (un rire) "maaais, laisse pas passer ta chance" (Secoue-Toi un peu Ça pourrait marcher)
un Ricanement mon idée a fait mouche. ça lui plaît à Faulkner héhéhé "non mais je sais que tu es une cause perdue, moi je plains déjà les serveurs…" et j'en ris (Tant Pis pour eux) "mmmh oui on pourra… mais est-ce que tu sais te servir des tes dix doigts déjà…" (pensif) Non ça va f o r c é m e n t Mal finir. "les aiguilles c'est trop petit, je vois pas comment tu peux te battre avec… sauf pour crever un oeil à Jésus ou Francheetos, là, pourquoi pas" J'y réfléchirai c'est (évidemment) une Mauvaise idée mais bon.
Sourire n'a jamais été si (agréable) Naturel. "nan ce sont les meilleures. encore mieux que les coeurs" Coeur qui bat doucement Coeur qui s'exprime qui M'apaise. "oui… y aura qu'à le refaire. on dormirait mieux… nan…" Qu'est-ce que Je Raconte "c'est mieux que dormir… enfin, peu importe" bâillement Faulkner ferme les yeux Je me perdrais bien en paroles absurdes légère chaleur tout à fait propice à l'endormissement insouciant comme un chat toute la nuit ou peut-être pas mais je ne veux plus bouger
Ptn t'es à 30 fdpSinon pour une fois c'est pas pour battre le record que je viens t'insulter, promis.
T’as l’impression de ne t’être jamais senti aussi bien en présence de quelqu’un. Pas de cette manière en tout cas. Tu ne sais même plus comment, pourquoi, vous en êtes arrivés là, mais tu sais que tu lui fais carrément – un peu trop ?- confiance. Vous avez beau vous envoyer des piques quand l’envie vous prend, t’auras toujours en tête ce genre de moments, où il est simplement venu parce que t’as envoyé un message. Pas spécialement sérieux. Pas du tout même. Mais il est arrivé au bon moment, il aurait pu te foutre un énorme vent. Et toutes ces conneries, autant de sa part que de la tienne, ne cacheraient-elles pas quelque chose ? Putain, mais Daniel, tu pourrais faire un effort et éviter de te poser des questions existentielles maintenant, à cette heure-ci.
« ▬ En vrai t’es un super héros j’suis sûr. Y a peu de gens qui feraient ça, et qui arriveraient à faire ça aussi. Même si leur but serait sans doute pluuus différent que d’avoir un bon oreiller. Ah, t’inquiètes je suis prêt mentalement, donc tu peux commencer q u a n d tu veux. »
Totalement. T’étais surtout prêt à bouffer, oui. Et sans doute ne pas assumer les conséquences plus tard, mais tu t’en foutais vu que tu ne pouvais pas encore les voir maintenant, oui. Mais rien que parler de bouffe, de Cheetos en particulier, ça te donne déjà faim. Alors que vous en avez, juste là, oui. Heureusement. Sinon tu serais peut-être mort de faim. Alors que t’avais mangé le soir même, oui. Et alors. Est-ce que c’était un problème. Comment vous pouvez en parler aussi longtemps même. Tu te poses la question mais tu veux pas trop savoir la réponse, non. Tant que la discussion est intéressante, c’est totalement le principal.
« ▬ Ce serait même assez incroyable en fait. Tu deviendrais même le modèle de certaines personnes, j’suis certain. »
Le tiens déjà, oui. Mais t’allais pas le lui dire tout de suite non plus. Si ça se trouvait, il l’avait déjà deviné même. C’est pas non plus comme si t’étais quelqu’un d’extrêmement froid et distant. Certes tu pouvais te taire sur plusieurs points et presqu’être un livre ouvert sur d’autre. Mais était-ce vraiment un problème ? Sans doute pas. Tu ne le voyais pas en tout cas, donc ça t’allait, tout simplement.
« ▬ Rooh, un paquet c’est rien, je suis certain que je peux t’en bouffer un en moins de cinq minutes. Aah ouais c’est vrai, la prochaine fois je penserai à ramener de la salade et du quinoa. A moins que tu ne préfères le tofu ? Mais on pourrait carrément en faire un livre en fait. Genre pour son anniversaire, on pourrait lui offrir ça. C’est super personnel et original. »
Sauf qu’il n’a sans doute pas votre humour.Donc il n’a aucun goût, CQFD. S’il ne savait pas rire de ça, c’était qu’il était nul, tout simplement. Bon. Tu le respectes un minimum quand même, c’est ton supérieur, mais il y avait des limites à tout, totalement. Mais pas à la connerie, jamais même.
« ▬ Tu vois ? C’est carrément le meilleur poste pour toi. Puis on a tous besoin d’une mascotte, sérieusement. Alleez, on pourrait même te trouver un p’tit nom aussi pour ça. Genre un truc tout mignon, ce serait encore plus p a r f a i t. »
Limite trop que pour que ça puisse exister. Mais à sa place, t’aurais pas accepté non plus. Quoique. Ca t’aurais peut-être permis d’avoir des horaires plus lâches.Soit, tu penses presque plus à tous les tourments que t’avais pu avoir. Ils sont sans doute présents, tu te connais assez bien pour savoir qu’ils ne se sont pas effacés, mais tu profites du moment, de sa présence. De la discussion. D’un peu de tout, oui. C’est qu’il te redonnerait presque confiance en toi au passage.
« ▬ Ca doit être ton influence, c’est pas possible autrement. T’imagines si je deviens meilleur que toi après les cours ? Aah ouais. Mais je me sentirais un peu mal s’il a bu je pense. Ca serait pas genre…Un peu trop profiter de lui ? Et me dit pas que garder des photos de lui c’est pire, parce que c’est f a u x. »
Totalement. tant qu’il n’en avait pas conscience en tout cas. Mais si un jour tu devrais lui passer ton téléphone pour une raison ou l’autre, tu ferais en sorte qu’elles disparaissent mystérieusement avant. Ou de carrément les planquer dans un dossier plutôt, histoire de pouvoir les retrouver, oui quand même.
« ▬ Eeh, la cause perdue elle s’empire en ta présence tu sais ? Je suis certain qu’ils me prendraient pour un client e x e m p l a i r e sinon. »
Totalement faux. Mais t’as pas besoin de le dire non plus. De toute manière tu vas pas te faire chier à aller au restaurant tout seul non plus en fait hein.
« ▬ Je t’assures que o u i. Peut-être pas tous en même temps hein, mais quand même. »
Puis y avait des doigts qui servaient à rien aussi là. Genre les petits d o i g t s. Par contre les majeurs, ça ils étaient bien entraînés chez toi, ça ne posait absolument aucun soucis. Du tout.
« ▬ Y en a qui arrivent à se battre avec leurs ongles, ça doit être tout autant difficile je crois ?? O u ais. Bon après je te laisserai faire hein, parce que rien que d’imaginer, ça me donnerait presque des frissons de dégoûts. »
T o t a l e m e n t. En même temps c’est juste immonde là d’imaginer ses aiguilles dans un [i[œil[/i]. Mais il fini de te rassurer totalement, avec ce câlin. Douce chaleur qui s’étend un peu partout dans ton corps d’ailleurs. T’as même plus l’impression d’avoir besoin de ton humour de merde là tout de suite, qui ne fais que cacher tes incertitudes et ton manque cruel de confiance en toi-même. Tu le sers un tout petit peu plus fort, comme pour t’assurer qu’il ne partira pas là tout de suite. Qu’il reste encore un peu. Peut-être même beaucoup.
« ▬ Bah la prochaine fois je t’enverrai un pavé de cœur quand tu joueras, voilà. »
Ou si t’en a le courage, peut-être juste un pavé de remerciement. Où tu ferais un minimum attention de l’envoyer à un moment propice, où il ne jouerait pas, non. Tant d’attention. Mais t’avais oublié ce que c’était d’être aussi bien.
« ▬ Quand tu veux, franchement. Ah ça c’est sûr que dormir ça pue à côté de ça. Je me sentirais nettement moins bien, …Merci. »
C’était la moindre des choses que de le formuler maintenant, plutôt que de prévoir un texte que tu ne lui aurais même pas dit en face, oui.
des Cheetos et une mascotte et du yodle des aiguilles un restaurant des photos Acerola Fitzpacito encore des Cheetos et de la bière et
sa chaleur les discussions tourbillonnent et se croisent et s'emmêlent un poids s'est progressivement dégagé de leurs esprits meurtris (on ne m'avait jamais dit à quel point un ami était précieux)
Faulkner ne veut plus bouger (non non non) lové somnolant reconnaissant il en oublie la vie (les tracas les dramas les ennuis) et il n'a même plus la force d'insulter Snicket.
"oui, hein…", baille-t-il (convaincant) et un tout petit rire "de rien, de rien, je suis ton sauveur, je sais…" (il tire la couverture autour d'eux) "toi aussi, merci… pour tout." (c'est un murmure entre le clapotis des vagues)