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Les maux de la destinée [PV Edgar & Arthur)

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Invité
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Mer 21 Fév - 23:28
Invité
Quoi de mieux que de débuter sa journée par un petit détour à l'office du tourisme ? Dmitri avait toujours détesté ce genre de lieux - déjà, les personnes qui y travaillent. Oh, il ne les connaît pas en soi. Ca vient davantage de ce côté envahissant "vous désirez un renseignement, monsieur ?". Bon, c'est le but de sa présence, en général. Mais se faire accoster... non. Non merci.

Du coup, après avoir enclenché le moteur de sa moto - c'est son trésor, autant vous le dire. Il la chérie comme au premier jour. Il ne rouspète pas aux traces de boue, mais... si elle peut être propre, avec un joli ronronnement... enfin bref, nous ne sommes pas là pour compléter un pavé sur sa bécane. - bref, il part donc sur les routes, casque sur la tête, veste en cuir coquée sur le dos.

Non, vraiment, il a pas envie. Mais il est arrivé dans cette ville depuis peu, et n'y connaît vraisembablement pas grand chose - alors histoire d'obtenir quelques informations sur les lieux intéressants... et puis, il faut l'avouer : il est friand des temples. Sauf quand y'a du monde. Et il n'a pas encore fait installer internet dans son petit chez lui. La flemme.

Il n'a d'ailleurs pas déménagé dans la meilleure ville possible - mais ! au moins, il a un studio pour lui tout seul. Pas qu'il se déplaisait avec son père adoptif, mais le besoin de prendre son envol était là depuis un bon moment.

Ses yeux cherchent le panneau indicateur, tout en gardant son attention sur la route, les usagers, les signalisations... tout en se concentrant pour ne pas activer sa capacité par erreur. Et franchement, quand ça lui arrive, il a davantage tendance à perdre le contrôle plutôt qu'à avoir une conduite bien meilleure. Il se rappellera à son mauvais souvenir d'une arrestation pour suspiçion d'ivresse. La honte.

Il ne mettra pas bien longtemps avant d'arriver à son objectif - un petit coup d'oeil pour se rendre compte qu'il y a déjà deux personnes présentes.

Dmitri coupe le contact, avant de mettre pieds à terre. S'y rendre maintenant ne serait d'aucune utilité, excepté de le contraindre à se retrouver dans une pièce avec d'autres humains. L'inconfort. Il guette d'un oeil des potentiels arrivants - pas question d'attendre trois heures non plus ! -, tout en sortant un paquet de cigarettes pratiquemment vide.

L'attente. Voilà le truc dérangeant.

Il s'était toujours dit qu'il ne toucherait pas à cette pourriture - et à vrai dire, il ne fume pratiquement pas. Mais il s'est trouvé un confort pour affronter les situations qui le mettent à défaut. Cet apport de nicotine pour soulager momentannément une réclamation de son cerveau quémandeur - voyez la solution.

Le jeune homme la glisse à ses lèvres, son mouvement suivi par une flamme - il aspire la fumée âcre, non sans un sentiment de culpabilité.

Une bouffée. Avant de la briser d'un mouvement, et de l'enfourner dans son cendrier portable.

Il soupire.

Face à lui, il repère l'insigne de la poste - bah, il pourrait en profiter pour aller retirer des sous. Lui qui se retrouve toujours à court de monnaie.

Un peu à contre-coeur, il se dirige vers le bâtiment - y pénétrant, il évite soigneusement les regards potentiels, et cherche son objectif. Et à son immense soulagement, l'une des machines est libre - il y va, récupérant dans son porte feuille sa carte bancaire.

Il la glisse dans la fente - mais il n'a pas le temps de rentrer son code, qu'une voix forte tonne dans son dos.

" Tout le monde s'assied là-bas, les mains en évidence ! "

... ? Sérieux ? Une arme en main, accompagné de deux autres camarades cagoulés, l'homme ne semble pas rigoler.

Loin d'être entêté, et sachant préserver sa sécurité plutôt qu'une stupide fierté, il se plie aux ordres, suivant les autres - certains paniqués, d'autres moins.

Finalement, il aurait dû la fumer, sa stupide clope.
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Edgar A. Poe
Edgar A. Poe
Messages : 84
Pages : 246
Date d'inscription : 11/02/2018
Sam 10 Mar - 16:48
Edgar A. Poe
Ah.ft. Tutur &
Dmitri

Il faisait beau ce jour là. A vrai dire Edgar n’avait aucune envie de sortir, mais le fait qu’il ait fait des bêtises avec Snicket sur le paquebot Zelda lui avait coûté une punition. Fitzgerald connaissant apparemment très bien ses membres, avait demandé à Edgar cette-fois ci d’aller lui chercher quelque chose EN DEHORS de sa bibliothèque, dehors, en compagnie d’autres êtres humains. Rien que d’y penser, Edgar frissonnait, il n’aimait vraiment pas ces choses là.

Accompagné de Karl, il sortit du paquebot et plissa les yeux, le soleil l’éblouissant un peu trop. Même Karl plissa les yeux. Il caressa doucement la tête de l’animal et commença à marcher, prenant la route vers l’endroit que lui avait indiqué son patron, tout en râlant un peu tout de même. La Poste. Il n’y avait jamais été au Japon, ne sachant pas du tout comment ça fonctionnait ici, ça allait être drôle. Si ça se trouve, Fitzgerald ne savait pas comment ça marchait non plus et l’y avait envoyé exprès. A cette pensée, l’écrivain soupira.

Il aperçut enfin le bâtiment au loin, après une dizaine voire une vingtaine de minutes de marche, à éviter les passants, quitte à même changer de trottoirs parfois. A vrai dire, les gens le regardaient de temps à autre, on ne voit pas quelqu’un habillé comme ça, et avec un raton-laveur sous les épaules tous les jours. D’ailleurs Karl était bien calme, et heureusement, il n’avait pas envie de lui courir après dans Yokohama. Il lui donnait donc quelques gâteaux de temps à autres pour éviter que l’esprit de l’animal ne s’égare sur autre chose, gratouillant aussi le menton de Karl. Il aimait tellement sa petite bête. Enfin qui avait grossi tout de même avec tous les biscuits qu’on lui donnait.

Edgar fut enfin arrivé au bâtiment. Il entra donc, quelques clients se retournèrent et haussèrent les sourcils ou disaient « Kawaiiii » en voyant Karl. Quelle horreur, en plus ce n’est pas comme si une poste c’était un gros bâtiment. Il se sentit vite à l’étroit. Il allait remplir sa quête le plus rapidement possible et rentrer aussi vite qu’il n’était rentré, voilà. Il attendu son tour et salua la guichetière, tendant le papier que lui avait donné son patron. Après ceci elle lui demanda d’attendre et alla dans la réserve. En attendant, Edgar regarda rapidement autour et aperçut une silhouette familière. Un jeune homme qui devait avoir une vingtaine d’années, les cheveux bleus… Son regard lui disait quelque ch- Arthur. En peu de temps qu’il ne le fallut, l’écrivain regarda ailleurs, faisant comme si il ne l’avait pas vu. Qu’est-ce qu’il faisait ici lui ? Il était pas Ecossais ?

Pendant qu’il tournait la tête, il regarda sans regarder un autre homme qui allait tranquillement à la borne pour retirer des sous. Il est classe, pensa Edgar avant que la guichetière ne l’interpelle pour lui tendre un paquet, qu’il prit, avant que celle-ci ne se mette à crier, faisant sursauter le jeune homme pendant que Karl avait resserré ses griffes sur ses épaules.

- Pas un geste bande de couillons, allez vous asseoir on vous a dit, allez !

Edgar commença un peu à paniquer et alla s’asseoir dans un coin, ayant caché Karl sous son manteau pour ne pas qu’ils voient l’animal et ne lui fassent de mal ou quoi. Non pas qu’il se soumettait aux braqueurs, mais il n’avait pas envie de mourir à la Poste, ça serait un peu .. nul comme mort. Et pas trop épique.

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Arthur C. Doyle
Arthur C. Doyle
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Date d'inscription : 03/10/2017
Age : 29
Localisation : quelque part entre la terre et l'enfer
Mar 13 Mar - 15:46
Arthur C. Doyle
Un après midi normal à la poste...(?)

Aller à la poste un passage nécessaire, bien qu’il n’en avait pas du tout l’envie. Il était ici pour récupérer un colis en provenance de Londres, de la part de ses parents.
En réalité, il leur a demandé de lui envoyer quelques trucs, pour plus de « réalisme » dans le rôle qu’il jouait. Il s’en serait bien passé, surtout qu’il avait déjà tout le nécessaire.
Il était coincé dans la file d’attente, et donc s’ennuyait beaucoup trop.
Jusqu’à ce qu’il remarque un homme avec un raton laveur autour des épaules regarder dans sa direction -il supposait, puisqu’il ne voyait pas ses yeux, cachés derrière une frange trop longue- pour rapidement tourner la tête, comme s’il cherchait à l’éviter.
Le connaissait-il ? L’homme ne lui disait absolument rien. Etait-ce une personne qu’il avait snobé par le passé, et ce serait donc pour cela qu’il ne se rappelait plus de lui ? Non plus…Il a quand même une bonne mémoire.
Dans tous les cas il n’allait pas s’approcher, préférant éviter l’attroupement de femmes en adoration devant l’animal.
Il parlait bien sûr du raton laveur.

Aussi, les hommes cagoulés et armés qui débarquèrent dans la poste ne lui disaient pas grand-chose non plus. Cela pourrait devenir un « running gag » de se faire interrompre dans les choses du quotidien. Il haussa un sourcil. Il était si proche du but, à savoir le guichet, et voilà qu’il devait s’asseoir avec les autres.
Soit. Il y avait des civils, ils ne devaient être en aucun témoin d’un meurtre. Le spectacle est déjà assez violent en tant que tel.
Il ne devait y avoir aucun blessé, Arthur se le promit.
Il s’installa prêt de l’homme au raton laveur, que l’anglais pensa qu’il devait être écrivain. Il y avait un autre homme qui retenu son attention, le motard rentré plus tôt dans la poste pour retirer de l’argent. Les deux cachaient quelque chose, il en était certain.


Il avait l’impression que quelque chose d’intéressant allait se passer…

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