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Rendre service aux autres, c'est mal | Ft. Kafka

Yoshitoki Ōima
Yoshitoki Ōima
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Date d'inscription : 14/10/2018
Dim 25 Nov - 23:18
Yoshitoki Ōima

Rester chez soi

c'est mieux.

Ce jour-là elle était de corvée, même si s’en était pas vraiment une. Plus un petit service pour un collègue de la mafia, même si on ne lui avait pas vraiment laissé le choix de lui rendre service. Elle aurait aimé rester bien au chaud et ne rien faire mais parfois il faut se bouger, malgré sa flemme. Yoshi se dirigeait donc vers l’adresse qu’on lui avait notée, elle devait récupérer une certaine arme d’un trafiquant. Dis comme ça, ça paraît simple mais il ne suffisait pas que d’aller voir un monsieur, lui dire « bonjour, j’aimerais bien cette arme » et repartir toute contente. Il fallait qu’elle en vole une, normalement ça ne lui cause pas trop de soucis de dérober quelque chose mais elle n’avait pas beaucoup d’informations sur l’arme en question à part une maigre description faite pas son collègue. De toute façon elle ne comptait pas se compliquer la vie, si elle ne trouvait pas le pistolet en question elle repartirait bredouille. Il n’avait qu’à le faire lui même s’il n’était pas content. Enfin ça ne servait à rien de s’énerver maintenant alors qu’elle n’était même pas au lieu indiqué.

Elle marchait tranquillement, elle n’était absolument pas pressée et très peu motivée. Elle suivait les indications que lui donnaient son téléphone, c’était vraiment un lieu bien caché dans des endroits où elle n’avait jamais mis les pieds. Heureusement que la technologie ça existe sinon elle serait perdue depuis longtemps. Après avoir arpenté de nombreuses ruelles les plus sombres les unes que les autres elle se trouvait enfin là où elle allait devoir se procurer l’arme. C’était un vieux bâtiment tout noirs, Yoshi s’approcha un peu et sentit une horrible odeur sortant de la porte qui était ouverte. Malgré la puanteur du lieu elle passa sa tête à travers la porte pour avoir un aperçu de l’intérieur du bâtiment. On ne pouvait voir qu’un long couloir sombre et le sol qui était fait d’un vieux parqué donnant l’impression qu’il allait se briser à chaque pas.

La jeune fille réfléchit deux secondes à comment elle allait s’y prendre et décida de juste foncer dans le tas et voir qu’est-ce que ça va donner. Elle entra dans la maison et commença à traverser le couloir. Elle marchait le plus doucement possible afin de ne pas faire craquer le sol et donc ne pas faire du bruit. Elle continua sa route sans encombre jusqu’à entendre du bruit derrière l’une des portes de la maison. Des voix raisonnées, ça devait sûrement être un garage ou juste une pièce vide mais elle aimait bien l’idée du garage, ça faisait un peu film d’horreur d’après elle. Elle regarda à travers la serrure et vit deux hommes en pleine discussion et à côté d’eux des armes en tous genres. Ca allait être difficile de trouver la bonne dans tout ce bazar. Elle entrouvrit la porte doucement en toute discrétion et alla se cacher derrière une table se trouvant juste à côté de l’entrée. D’ailleurs elle avait vu juste, c’était bien un garage qui était plutôt vide. Juste une table avec quelques chaises et deux trois caisses par-ci par là.

Elle comptait attendre un petit peu pour voir ce qu’ils allaient faire ensuite tout en regardant les armes poser sur le sol pour trouver celles correspondant le plus à la description qu’on lui avait faite. Au final, cette histoire paraissait plus simple qu’elle ne le pensait. Ca en devenait même ennuyeux. Enfin pas pour très longtemps. Elle ne l’avait même pas vu et ne savait même pas ce qu’il faisait là. Une personne avec un visage familier se trouvait assis à côté d’elle. Elle eu un sursaut en le voyant et chuchota :

- Tu fais quoi ici toi ?
@feat Kafka
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Franz Kafka
Franz Kafka
Messages : 62
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Date d'inscription : 22/10/2018
Mer 28 Nov - 16:26
Franz Kafka
God save us, god save us all ! God hates us, god hates us all !Les gens ne savaient définitivement pas tenir leur langue. Est-ce que ça te posait un problème ? Absolument pas. Même franchement aucun. Ca te foutait un peu d’activité même dans ta vie. Même si elle n’était pas totalement plate, certes. Mais t’aimais bien faire la commère. C’était tellement plus agréable que de faire comme si on entendait rien. Ne pas se mêler des affaires des autres. Et puis quoi encore. Fallait pas parler aussi fort. Surtout pas d’armes. C’était même le mot magique en fait. Pour que tu te découvres une ouïe ultra développée.

Et qu’absolument plus rien d’autre ne compte. T’arrivais même à écouter en restait un minimum discret. En fermant ta putain de gueule aussi. Ce serait sans doute la chose la plus dure que t’aurais à faire . Et tout s’était bien passé. Très bien même. T’avais gardé ton calme. T’avais même été patient. Tant de vertu qui ne te collaient pas au teint. Qui ne te collaient pas tout court. Mais il fallait bien passer par là de temps en temps.

Ca ne te regardait sans doute pas, ça allait aussi t’apporter une tonne d’ennuis si jamais on te remarquait, mais qu’est-ce que t’en avais à foutre. Absolument rien. Tu voulais juste ces armes dont ils parlaient. Gratuitement si possible. Peut-être que tu manquait de rien. Mais c’était tellement plus drôle de s’en procurer gratuitement, oui. Une personne normale se serait un minimum préparée. Fallait croire que t’étais tout sauf normal. Mais ce n’était pas une nouveauté. Dès que t’avais pu, t’avais fermé ton magasin. Et t’étais tout simplement allé voir, oui.

Un bâtiment que t’aurais jamais approché de ta vie si on ne t’avait pas dit ce qu’il pouvait contenir, c’était certain. Là soudainement, t’étais même prêt à y emménager. Discrètement, certes, mais quand même. Tu t’étais juste occupé d(avancer jusqu’à la pièce qui t’intéressant en essayant d’éviter absolument toutes les personnes qui pouvaient être là .

En trouvant une cachette derrière une table. T’y étais plutôt bien. T’étais pas d’un naturel patient, non. Mais tu prenais sur toi. Encore. Tu pourrais ne plus faire d’efforts pendant un année entière après ça. Sauf que t’avais été prêt à tout, sauf à voir une tête familière. Et apparemment, elle avait aussi eu peur. Au moins, vous étiez quittes. Ca t’avais fait sourire, en fait.

« ▬ Je comptais me préparer pour un prochaine spectacle de claquettes. Ca devrait résonner assez bien et assez fort ici. Nah, ils étaient pas spécialement discrets quand ils sont passés au kombini, je me suis dit que ça valait le coup de venir voir, et je regrette pas franchement. Et toi, une promenade de santé ? »

T’espérais quand même qu’elle n’était pas ici pour prendre toutes les armes hein. Parce que ce serait un peu triste, et surtout dommage.


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Yoshitoki Ōima
Yoshitoki Ōima
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Date d'inscription : 14/10/2018
Lun 10 Déc - 21:48
Yoshitoki Ōima

Rester chez soi

c'est mieux.

Elle comptait finir cette petite mission le plus rapidement possible et rentrer chez elle mais voilà que les choses devenaient intéressantes. Elle ne s’attendait pas à la visite d’une tête aussi familière, enfin en y repensant ce n’était pas plus surprenant que ça de le retrouver dans un tel lieu. Sa présence pouvait même lui être utile, enfin en espérant qu’il ne venait pas pour la même arme qu’elle. Et puis le fait qu’il soit ici rendait sa petite quête moins ennuyeuse, elle n’allait peut être pas partir tout de suite au final.

- Tu devrais savoir que j’adooore me promener dans des maisons puantes, y a des porcs qui habitent à l’étage ou quoi ? Mais à part ça je suis juste venue rendre un petit service à un collègue. Mhh une arme en particulier t’intéresse ou tu veux juste tout prendre ?

S’il comptait se servir et tout emmener avec lui cela risquait d’être problématique, enfin il fallait d’abord qu’elle vérifie que l’information donnée était belle et bien vraie. Tout ça aurait été plus simple pour elle si on lui avait directement montré une photo au lieu de lui décrire brièvement une arme alors qu’elle n’y connaissait presque rien. C’est que certaines personnes étaient un peu conne à la mafia n’empêche. Mais en y repensant la solution à son problème était juste sous son nez. Il suffisait de lui demander et il sera quelle arme à feu il s’agit sans aucun problème en espérant qu’il ne soit pas intéressé par la même arme que la jeune fille. Mais c’était risqué de lui en parler. Apparemment il s’agissait d’une arme rare que tout le monde s’arrache. Elle hésita quelques secondes mais en voyant un des hommes partir vers leur direction et l’autre ranger elle comprit vite qu’elle devait agir le plus rapidement possible.

Puisque l’un des hommes faisait quelque chose sur la table à côté d’eux, lui adresser la parole sans se faire entendre était impossible. La jeune fille sortit le plus discrètement possible un vieux papier de sa poche et un crayon et se mit à écrire les caractéristiques de l’arme dont elle se souvenait. A la fin de sa note elle lui demandait s’il n’avait pas une idée de quelle arme il s’agissait. Elle lui glissa le bout de papier et le stylo pour qu’il puisse écrire à son tour. La mission se déroulait pour le moment bien mais comme à chaque fois qu’elle faisait quelque chose, à croire qu’elle était maudite, quelque vint la perturber dans sa quête de discrétion. Elle entendit un petit bruit juste à côté d’elle, ce bruit risquait de compromettre son infiltration qui avait pourtant si bien commencée. Yoshi n’avait pas envie de se battre juste pour une histoire d’arme qui n’était même pas pour elle. Elle chercha quand même à savoir d’où venait ce bruit puisqu’elle n’avait rien fait tomber de ses poches. Elle regarda autour d’elle jusqu’à apercevoir un briquet qui à dû tomber de la table, l’homme allait sûrement venir le récupérer et là, ils seront coincés. La jeune fille pourrait pousser le briquet plus loin avec son pied afin qu’il ne puisse pas les apercevoir mais elle risquait de se faire voir, elle continuait à réfléchir à d’autres solutions le plus vite possible pourtant personne n’était encore venu récupérer le briquet égaré. Elle avait encore un peu de temps pour trouver une solution alors elle s’adressa à la personne d’à côté. Elle lui donna un léger coup de coude pour avoir son attention et se rapprocha pour qu’il puisse l’entendre sans se faire remarquer par les ennemis.

- T’aurais pas une solution pour ne pas qu’on puisse se faire voir ? J’ai pas envie d’avoir recours à la violence juste à cause d’un putain de briquet.

Yoshi espérait qu’il soit plus futé qu’elle sur le coup.
@feat Kafka
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Franz Kafka
Franz Kafka
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Date d'inscription : 22/10/2018
Mer 12 Déc - 12:09
Franz Kafka
God save us, god save us all ! God hates us, god hates us all !Putain, mais la prochaine fois tu penserais vraiment à prendre un coussin avec toi hein. T’aurais moins mal au cul, et en plus t’aurais moins froid. Tu repasserais pour la discrétion, certes. Mais est-ce que ça valait le coup d’être malade pendant deux semaines après ça ? …Si t’arrivais à avoir cette arme, oui. Mais t’avais confiance. Tu l’aurais. Point final. T’avais pas fait ces 200 mètres pour rien non plus, oh. Tu bouges un peu, pour être installée de manière plus confortables. Tu manques de te prendre la table au passage, mais tout va bien. Et puis t’as un peu de compagnie, ce qui n’est franchement pas négligeable. T’as failli rire à ses paroles, t’essayes de le faire le plus discrètement possible, parce que ce serait triste de ne pas réagir non plus.

« ▬ Ouais carrément tu dois t’y sentir comme chez toi je pense. Je pense bien, parce que c’est presque invivable à ce point là. Ooh, c’est gentil ça. Ca m’étonnerait presque de ta part. Une en particulier surtout, ouais. Mais si j’peux prendre tout je vais pas me gêner non plus. ‘Fin. J’imagine que t’es là pour une arme aussi ? »

Ou alors c’était juste pour s’en prendre aux deux hommes là. Mais ça te semblait un peu moins logique quand même. Qu’est-ce qui était logique dans cette vie. Sans doute pas grand-chose, non. Mais ça t’aurait pas mal arrangé, qu’on te débarrasse de ceux que tu considérais comme intrus. Pour pouvoir repartir tranquillement avec ce que tu voulais. Sauf qu’ils étaient en train de ranger. Génial. Peut-être qu’ils vous avaient entendus ? Non, ils auraient réagi autrement. Ca ne servait strictement à rien de commencer à s’emballer. Plutôt observer ce qui se passait, oui.

Mais ton attention avait de nouveau été captée par la jeune fille, qui t’avais passé un bout de papier. T’avais pas tout de suite tilté ce qu’elle voulait, t’avais même hésité à le lui renvoyer, avant de voir le stylo, donc peut-être que c’était un message, auquel elle attendait une réponse, oui. Donc tu l’avais pris, ce bout de papier. Tu l’avais lu aussi, assez attentivement. T’avais assez rapidement vu de quelle arme elle voulait parler. Bon, ça te faisait chier parce que même s’ils n’en avaient pas parlé devant toi, elle était vachement intéressante.

Est-ce que tu pourrais passer à côté d’elle ? Tu n’avais pas trop le choix non plus. Sauf si tu voulais te prendre la tête ou autre avec la jeune fille. Très mauvaise idée. Qui ne te plaisait pas plus que ça. Alors tu pourrais faire un effort. T’étais en train de lui répondre. T’étais un peu trop concentré, tellement que t’avais légèrement sursauté en entendant ce truc tomber. C’était quoi même. Aucune idée. Du tout. Donc t’allais donc continuer d’écrire.

Mais une nouvelle fois, on t’interrompt, avec un coup de coude. Un jour, t’arriverais à écrire ce message. Surtout que t’as bientôt fini d’ailleurs. Il te reste deux trois mots. Mais tu prends la peine de l’écouter, c’est sans doute quelque chose d’important, oui. Sinon elle n’aurait pas pris la peine de se bouger jusqu’à toi, encore moins de parler. Tu fronces un peu les sourcils, et tu vois ce briquet, sans doute la merde qui t’a fait peur tout à l’heure. Tu lèves un peu le regard vers eux, avant de te pencher par-dessus la jeune fille, et d’aller rechercher le briquet en question, peut-être un peu trop lentement, mais t’as pas envie de risquer de faire du bruit. T’espère juste ne pas trop l’écraser. Mais t’as réussi. Tu te rassieds normalement, avec l’objet en main.

« ▬ …Ils l’ont remarqué au moins ? Sinon, je le lance ni vu ni connu de l’autre côté de la pièce. Au moins ça attirera leur attention ailleurs. »

Ouais, c’était ce que t’avais de mieux actuellement. D’ailleurs, t’avais même commencé à mettre ton bras dans la bonne position.


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Yoshitoki Ōima
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Dim 23 Déc - 22:44
Yoshitoki Ōima

Rester chez soi

c'est mieux.

Maintenant elle en était certaine, elle était tombée sur la personne la moins adaptée quand il s’agissait d’être discret. Même elle qui se considérait comme bruyante arrivait à passer inaperçu cent fois mieux que lui. Et puis elle commençait à avoir des crampes dans les jambes à force de rester dans la même position trop longtemps. Rester en place n’était vraiment pas sa spécialité même si elle ne pouvait pas faire autrement.

Elle le regardait se pencher pour aller récupérer le briquet, elle ne pensait pas qu’il opterait pour une solution aussi peu discrète. Enfin même si l’idée ne la ravissait pas, contre tout attente il avait réussi sans encombre à récupérer l’objet. La jeune fille s’imaginait alors qu’il allait juste le garder ou trouver un moyen de le reposer sur la table mais apparemment ils n’étaient pas sur la même longueur d’onde.

- Je ne pense pas qu’ils aient encore remarqué mais quand ce sera le cas ils vont sûrement le chercher par tout ou juste l’abandonné… Pauvre briquet, dommage qu’il n’existe pas de SPA pour briquets…

Oui, elle s’était encore égarée et s’était mise à penser à des refuges pour briquets mais le voir se préparer pour le lancer lui faisait vite revenir à la réalité. Elle se jeta sur lui pour lui attraper le bras avant qu’il puisse jeter l’objet.

- Mais t’es con ou tu le fais exprès ? Tu crois vraiment que les briquets ça volent tels de petits papillons ou quoi ? C’est trop louche s’ils voient le briquet voler à travers la pièce, on va se faire griller direct avec tes conneries.

Elle réfléchissait à une autre solution plus efficace pour récupérer son fichu pistolet qui n’était même pas pour elle. Elle soupira d’agacement, la jeune fille espérait que tout ça se termine vite fait pour qu’elle puisse traîner ailleurs. De plus avec cette puanteur, tous les éléments étaient réunis pour qu’elle parte au plus vite. Alors elle décida d’opter pour la solution certes moins discrète mais tout aussi efficace pour en finir au plus vite. Et puis si l’autre lui donnait un coup de main, ça serait deux fois plus rapide. Enfin la dernière fois qu’elle lui a demandé de l’aide ils ont failli se faire voir alors autant le faire soi-même.

- Bon comme j’en ai marre je vais foncer dans le tas, mais toi tu restes là ou tu vas tout faire foirer. J’ai pas envie d’avoir attendu autant de temps pour rien.

Elle sortit son petit couteau de sa poche pour ne pas avoir à utiliser son pouvoir car subir les contre-coups pour une mission avec si peu d’intérêt ne l’emballait pas trop. Elle jeta un dernier coup d’oeil à la personne assise à côté d’elle.

- Pas bouger hein.
@feat Kafka
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