Qu'est ce que nous voyons ? Un jeune adolescent ! Cheveux corbeaux ! Son origine ? Russe sans aucun doute, suffit d'observer son Outchanka ! Mais il est pâle, si blanc, semblable à la neige dans son pays natal... anémique ? Sûrement! Il devrait faire attention à sa santé, bien qu'il n'a pas l'air de s'en soucier avec son sourire carnassier qui s'était planté sur ses lèvres.
Adolescent pleins de rêves, adolescent souillé par d'innombrables idées machiavéliques. Mais où va-t-il ? Question normale à poser quand on sait qu'il n'est pas originaire de ce pays aux allures britanniques. Il va voir une connaissance, du moins, plus qu'une connaissance. Un complice, comprendre les capacités, but incroyable pourtant ils essayent tout deux de le réaliser. Par un iNcRoYaBlE miracle, ces deux démons s'étaient connus. Pourtant, Fyodor est encore jeune, pourquoi Diable est-il lié à toute ces histoires ? Sûrement car c'est le Diable en personne ! Mesdames et Messieurs, n'ayez craintes, il ne vous fera rien tant que vous ne déranger pas ses plans.
Discuter autour d'une tasse de thé? Parfait ! Idée magnifique pour cacher que le fait qu'ils étaient tout deux en train d'échanger des informations qui pourraient vraisemblablement changer le futur si tout se concrétise ! Déterminé, le jeune russe. Déterminé à penser qu'une utopie est possible avec la suppression des détenteurs de pouvoir. Son complice, lui, veut comprendre les capacités, en créer, en supprimer ? Cela lui semble possible, suffirait de trouver leur logique surnaturelle.
Un, deux, trois, des pas triomphants qui s'attardent sur les monuments anglais. Bon Dieu, le point de rendez-vous est loin de son hôtel, le russe a la peau de neige soupire, il va y arriver! Et c'est d'ailleurs au moment au moment où il pense ça que la silhouette de son complice se dessine enfin!
Localisation : quelque part entre la terre et l'enfer
Ven 4 Jan - 1:58
Arthur C. Doyle
Smiling demon
Un jeune homme de dix-huit ans tout à fait normal, si ce n’est son intelligence digne d’un génie. Un vrai prodige en sciences, qui s’essaie parfois à la poésie. C’est ce dont on pense de moi. Mais personne ne cherche à me connaître, à savoir à quel point je m’ennuie (ce que je fais pour m’occuper). J’ai trouvé un garçon plus jeune que moi (encore un autre (un russe cette fois (on dirait les pensées d’un pervers (c’est un beau jeune homme tout de même, il faut le dire)))) avec qui je partage la même vision du monde : il ne faut se soucier que de soi. Qu’importe ce que les autres pensent, il faut faire ce que l’on veut sans regret, ni culpabilité.
Un duo si intéressant (si dangereux).
Je l’ai invité à prendre le thé chez moi, après mes cours. Je l’attends dehors, au point de rendez-vous, parfaitement à l’heure. Il y a du soleil mais l’air est frais (un temps parfait). Mon éternel sourire aux lèvres, presque sincère, je salue le brun qui arrive dans ma direction.
- Priviet, Fyodor. Oui, j’aimerais discuter de quelques trucs avec toi.
J’ouvre la marche, le guidant à mon appartement non loin de là. La Mort marche à mes côtés. Cela ne me gênerait pas d’être tuer par cette capacité, je veux savoir ce que l’on ressent (quand ces doigts longs et fins touchent votre peau (quand vous succomber juste après ce simple contact)). Mais j’ai trop de choses à découvrir pour me permettre de faire cette demande (plus tard (peut-être)).
- C’est ici.
Je grimpe lentement les escaliers (ils craquent sous nos pas), puis ouvre la porte de mon appartement pour le laisser entrer. C’est un décor tout ce qu’il y a de plus British mais très épuré, rien de bien extraordinaire. Cependant tout est rangé, carré, propre. Pas une poussière, pas un objet de travers (une odeur de produit flotte dans l’air). Le lieu de vie d’un maniaque qui hait la saleté (le bout de mes doigts ne se sont pas abîmés seuls (je devrais investir dans des produits plus naturels)).
- Fait comme chez toi, je vais aller préparer le thé.
Je pars alors dans la cuisine, et revient rapidement vers Fyodor, plateau en mains (il y a de la nourriture dessus (manger est primordial)) que je pose sur la table avant de m’asseoir en face lui (longue jambes croisés et sourire toujours en place).
- Bien, commençons. J’ai à te parler de mon plan.
Plan basé que sur des théories. Mais un plan tout de même.
- Et d’un garçon.
Mon sourire s’agrandit à un coin de mes lèvres (j’ai l’air bien trop enthousiaste (ou bien le mot est (sadique))).
Ce duo, vulgaires hommes de cette Terre, mais pourtant, cette association est malsaine, démoniaque. Vous êtes tout les deux dangereux, capables de beaucoup de choses. (Des choses horribles aux yeux de ces humains). Discuter de quelques trucs ? Voilà une idée qui réjouissait le jeune russe, sourire. Arc de lune sur les lèvres, un hochement de tête, et voilà qu'il suivait ce blond, cet aîné. Rencontre dû au destin (même façon de penser). L'homme originaire des pays de neige grimpait ces marches (d'un pas calme, posé). Entrait dans ce lieux aux allures anglaises, tout semblait être calculé pour être droit, perfection d'un homme qui déteste la saleté sûrement (sauf que les deux hommes présents dans la salle sont des saletés humaines au vu de leur monstruosité). Attendant son complice, assit à cette table, le russe restait silencieux. Silence ! L'entracte est finie, place aux échanges de voix, d'idées, de plans (de moyens de chercher la raison de cette existence sur-humaine). Pourtant, ce Russe possède un pouvoir, n'est-il pas un homme aux allures contradictoires ? (Veut-il s'auto-détruire?)
- je t'écoute !
Pas le temps de prononcer plus, Joseph annonçait tout de suite l'un des sujets de conversation que vous alliez avoir. Au sujet d'un garçon (intéressant). Qu'est ce qu'il avait de spécial? (Vous aviez hâte de le savoir). Le russe arquait un sourcil, (intrigué). Soufflant sur cette tasse beaucoup trop chaude pour la porter à ses lèvres, ses yeux se posaient sur l'homme en face de lui. (Qu'avait-il donc derrière la tête ?) Cet homme, ce Joseph est si mystérieux.
- Un garçon? C'est à dire ? Je suis tout ouïe.
La mort est prête à entendre les confessions du démon. Il était bien trop de bonne humeur. Ses mains pâles entouraient la tasse que lui avait préparé son complice, (elle réchauffe cet homme atteint d'anémie).
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