MUSIC ; Il était sorti dans l’espoir de trouver quelque chose à faire. Surveiller la Guilde c’était “chiant”, et il se demandait bien comment ces gens avaient réussi à voler leur travail… C’était assez insultant.
Finalement, il se retrouvait à se balader dans Yokohama, avant d’entrer dans une cafétéria pour boire un café. Alors qu’il en commanda un deuxième - ”génial pour les nerfs Jameson” - il remarqua une figure qui se démarquait facilement des japonais. “Un russe ?” Il fixa l’homme, avant de finalement le reconnaître. “... En voilà du travail, il suffisait d’attendre.”
Il sortit après le brun, prenant ses distances avec lui. S’il pouvait l’attraper, nul doute que cela aiderait le FBI. “Cet homme est recherché pratiquement partout dans le monde et il se balade comme si tout était normal.” Est-ce que James aurait fait pareil à sa place ? Non. (Si)
Empruntant une ruelle pour être discret, son pied rencontra pourtant une bouteille de bière posé au sol, la faisant rouler. Il la regarda les sourcils froncés, secouant la tête en maudissant les ivrognes. Mais voilà que Dostoïevski disparu dans un entrepôt
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James ne su pas vraiment vers où se diriger, tenta sa chance en entrant dans le frigo, cherchant du regard le russe avant que ses yeux ne se déposent finalement sur lui. “Ah, enfin.” Il allait ouvrir la bouche -pour prononcer une provocation sans aucun doute- quand la porte se referma derrière lui. Il lui semblait avoir entendu le bruit d’un verrou. Jameson fixa l’homme quelques instants, soudainement conscient du froid, avant de se tourner légèrement pour tenter d’ouvrir la porte.
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What the fuck- Is this for real ?Ne pas s’énerver était une mission qu’il aurait du mal à accomplir. Pourtant, il allait falloir rester calme avant de donner des coups de pieds dans la porte. Il frotta son nez déjà rougit, soufflant de frustration. L’américain détestait faire des erreurs. Il s’adressa à l’autre en japonais, puisque cela semblait être une langue qu’ils avaient en commun.
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... Donc. Pourquoi entrer dans un frigo ? Quel intérêt ? Vous ne faites rien par hasard, alors je ne comprends pas : éclairez moi je vous prie. A quoi bon mentir ? Il aurait découvert la vérité et se serait sûrement amusé à le mener par le bout du nez. Le blond eut soudainement conscience qu’il pouvait mourir d’un instant à l’autre. “Il a une capacité.” Son coeur bondit dans sa poitrine. Il détestait les détenteurs, puisque bien souvent il ne pouvait avoir le dessus sur la situation. “Crever d’un simple touché, en voilà une mort con…”
De toutes celles qu’il aurait pu avoir au bout de vingt-huit ans d’existence, c’était bien elle la plus stupide… Si ce n’était pas l'hypothermie qui allait être le premier à avoir la mainmise sur son destin.
“Olalah, que de suspense.”
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