la la la la la~ Faulkner fredonne Faulkner est content Faulkner est d'humeur à faire chier (comme très souvent) et il a décidé (c'est comme ça, tant pis hein) que sa Victime serait Poe. (poe-licier, poe-lochon, poe-tage, poe-mmade j'adore son nom)
il s'est pomponné il s'est fait beau ce matin (parce que pourquoi pas mais certainement pas pour Poe-lygône) une pointe d'eye-liner une touche de gloss des cheveux soyeux Mais tout ce qu'il trouve à faire c'est se diriger vers la bibliothèque. (peut-être qu'il peut charmer Poe-chette ?) pas que j'en aie envie de toute manière, hein
a-Poe-calypse est toujours dans la bibliothèque (mais Comment fait-il) De toute façon C'est sûr sûr et certain Qu'il y sera aujourd'hui et l'autre sifflote un air familier (mais Quelle chanson est-ce bah aucune idée peu importe)
il finit par débarquer (sans honte, sans discrétion) simplement comme si on l'attendait À la bibliothèque. comme il s'y attendait la vielle Poe est là "bon~jour~" qu'il s'exclame en s'approchant "comment allez-vous monsieur Poe ?" chantonne Faulkner, fort
Car il sait que le Bruit est insupportable à ce cher Poe-teau.
Edgar A. Poe
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Jeu 22 Fév - 23:46
Edgar A. Poe
Règlement de contesft. Faulkner
En effet, Poe était dans la bibliothèque, que Fitzgerald lui avait laissé comme étant son propre bureau maintenant, car il avait bien compris que le jeune homme avait besoin de calme et de temps à passer seul. Oui, il aimait bien passer son temps seul, avec Karl, donc sans aucun être humain à ses alentours ou dans son cercle vital.
Il était avachi sur sa chaise, le dos courbé et écrivait, gribouillait, chiffonnait certaines feuilles. Il était armé de son stylo à plume, au sens propre et figuré du terme, à l’ancienne comme on dit, mais il aimait bien rester dans les traditions. Et puis il ne se voyait pas aller dans ces magasins appelés grandes surfaces pour aller acheter un malheureux stylo qui ne durera même pas trois jours avec lui. Mais là n’était pas la question. Avec Karl qui dormait paisiblement sur ses épaules, il était en train de faire le brouillon de quelque chose qu’il n’avait jamais écrit auparavant : Un conte. Et pour cela, il avait sorti tous les contes qu’il avait en sa possession (et ceux de la bibliothèque) pour s’en inspirer, regarder un peu le style d’écriture… Les livres étaient ouverts et éparpillés sur le bureau, une personne d’extérieur aurait pu dire que c’était le foutoir, mais pour Edgar, c’était parfaitement organisé. A vrai dire, il avait commencé tout ça la nuit dernière, ou même hier soir. Et il y était encore, car il était aussi perfectionniste, Edgar. Des tas et des tas de brouillons étaient tassés dans la corbeille, et certains traînaient par terre. Mais il continuait, là il venait d’avoir une idée, une très bonne idée même ! Ça venait de lui venir à l’esprit, pourquoi il n’y avait pas pensé plus tpot, il allait faire un-
Karl releva une oreille, puis les deux, puis se redressa d’un seul coup sur les épaules de Poe en sortant les griffes. Il fixait la porte, pendant quelques secondes, avant qu’une personne n’entre. Le malheureux Poe sursauta aux griffes plantées dans ses épaules mais aussi à la porte qui venait de claquer, faisant entrer ce mystérieux et INSUPPORTABLE personnage qu’était William Faulkner. « Bonjour » lui a-t-il dit. « Au revoir », aurait voulu lui répondre Poe. « Comment allez-vous Monsieur Poe ? » avait-il rajouté. « Mieux quand t’es pas là » aurait été une réponse convenable selon l’écrivain.
Oui, Edgar Allan Poe était énervé, remonté et sur les nerfs. Car non seulement il avait pas dormi depuis deux jours, mais en plus IL VENAIT DE PERDRE SON IDEE. Il avait réfléchi très longtemps à son intrigue de conte, qui lui est venue à l’esprit il y a quelques minutes de cela, pour que Faulkner ne vienne le perturber en ouvrant la porte comme un bourrin et ne chante à tue-tête. A croire qu’il en faisait exprès ce … Bon, du calme Edgar. Il veut peut-être simplement quelque chose et il te laissera tranquille. Oui, c’est sûrement ça, hein.
- Bonjour, qu’est-ce que je peux faire pour vous, Faulkner ?
Avait-il dit en relevant doucement la tête vers lui, mais son regard était loin d’être doux lui. Ses cernes étaient encore plus présentes que d’habitude et sa bonne humeur semblait être partie en fumée. Cela pouvait se savoir, avec le ton de sa voix, mais aussi par le fait qu’il avait appelé William par son nom de famille. D’habitude il se serait contenté d’un « William-san » mais là, sûrement pas. Faulkner, ce serait très bien pour cette fois. Pendant qu’Edgar insultait en anglais Faulkner un nombre incalculable de fois dans sa tête, Karl, lui était descendu des épaules de son maître pour venir sniffer le kimono du nouvel arrivant non sans se méfier.
William Faulkner
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Sam 3 Mar - 12:47
William Faulkner
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un jour on s'aimera (ou pas)
hé hé hé hé hé mission (déjà) accomplie Faulkner savait bien que sa simple existence suffisait à exaspérer clo-Poe-rte et il Jubile déjà intérieurement (et extérieurement aussi, vu son sourire)
"ne soyez pas timide, je sais que vous êtes ravi de me vo- uh ?" il s'interrompt se tait un bref instant (profites-en, Poe-tager) à cause d'un animal qui vient salir son Kimono.
alors là, n o n ça ne va pas du tout. Faulkner grimace et saisit (du bout des doigts) l'animal par la peau du cou "je ne te permets pas, Karl", qu'il feule en le reposant sur le bureau
un soupir après cette brève interruption il va pouvoir répondre à l'autre, peut-être Faulkner le toise, maintenant qu'il est tout près (bien trop près) passe un doigt sous son menton et lui relève la tête "hmmm vous m'avez l'air bien fatigué, faites attention" sourit-il, mielleux Avant de s'écarter, je n'ai pas envie de prendre un coup non plus
"serait-ce à cause de tous ces feuillets ? mais qu'est-ce que vous écrivez donc encore là ?" et Faulkner ramasse une feuille qui traînait par terre et commence à la lire (en vérité je m'en fiche, j'espère juste qu'il n'aie pas envie que je lise) "il était une fois, dans un château esseulé…" un… conte ? une histoire pour enfants ? Qui aurait cru que Poe-rte-manteau savait s'adresser aux enfants ? Faulkner ricane elle est bien bonne celle-là.
Edgar A. Poe
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Sam 3 Mar - 15:53
Edgar A. Poe
Règlement de contesft. Snicket
Et Faulkner avait raison. Rien que le fait que Poe puisse l’apercevoir dans son champ de vision l’exaspérait au plus haut point. Comme quand il voyait des gens tout court, mais LUI c’était différent, parce qu’au lieu de chercher la merde, il venait carrément la déposer lui-même, que le fait de faire chier les gens était quasiment sa principale occupation. Poe avait ces gens là en horreur.
Il avait bien vu que Karl était parti sniffer le kimono de Faulkner, mais il ne bougea pas d’un pouce, il y avait juste jeté un coup, prêt à entendre ce que voulait ce cher individu qui venait de se pointer dans son bureau. Mais il en fût autrement. Le raton-laveur venait de dégoûter l’androgyne au point qu’il l’attrape par la peau du cou, même si il n’avait rien fait de méchant. Poe était prêt à se lever mais il n’en fit rien, car Karl ne se débattait même pas, comme si Faulkner était simplement en train de le promener. Mais il avait bien fait Karl, car la grimace qu’avait fait son interlocuteur avait bien amusé Poe, même si cela ne s’était pas vu du tout. Car les traits du visage de celui-ci n’avaient pas bougé d’un pouce.
Puis ceux de Faulkner étaient maintenant bien trop près, et il le toucha même, lu relevant le menton. Erk. Rien qu’un individu dans son espace vital le dégoûtait, mais en plus si c’était Faulkner et qu’en plus il le touchait, là, ça le mettait hors de lui. Il avait donc reculé, à peine Faulkner avait déposé le doigt sur son menton, assez reculé même, à presque 1 mètre de lui, tout en restant collé à sa chaise. Et depuis quand il s’intéressait à lui ou à ce qu’il écrivait ? Edgar n’était pas bête, il savait très bien que Faulkner s’ennuyait et ne voulait qu’une seule chose : Se distraire en emmerdant.
Il toucha même aux quelques feuilles qui étaient tombées par terre, ses derniers essais d’écriture. Génial, il ne manquait plus que ça. Il n’avait pas honte d’écrire des contes, c’est juste que ses écrits, tant qu’ils n’étaient pas officiels, n’étaient pas censés être lus selon lui, et certainement pas par lui. Il ricanait même, tout en lisant la première phrase. Edgar était définitivement blasé de ce collègue… Mais il eût peut-être une idée, une idée qui lui donnera sûrement du calme pour quelques temps.
L’écrivain se rapprocha alors du bureau, tout en ramenant la chaise avec lui, et s’asseya de nouveau, les coudes posés sur le meuble et les mains liées au niveau de son visage. Il prit alors un visage plus décontracté avant de s’exprimer.
- Justement, en relisant quelques contes, Mr.Faulkner, il y a quelque chose qui m’avait fait pensé à vous.
Edgar saisit alors un conte, un beau livre qui plus est, et le tendu à son interlocuteur.
- Je suppose que vous connaissez celui-ci, il est très connu et son histoire est assez triste malgré la Happy End. Je vous cite.
« Il était une fois un gentilhomme qui épousa en secondes noces une femme, la plus hautaine et la plus fière qu'on eût jamais vue. »
Peu après les paroles de Poe, le livre que tenait probablement Faulkner se mit à briller, les pages se tournant d’elles-mêmes à une vitesse folle. Edgar Allan Poe avait activé son pouvoir.
- Je suppose que tu connais mon pouvoir aussi, Faulkner. Black Cat in the Rue Morgue. Ce que je te demande est de finir le conte, jusqu’à la FIN, par tes propres moyens, sans tes pouvoirs. Amuse-toi bien.
Mais ce que n’avait pas prévu Poe, c’était que le livre en question puisse également le concerner, il avait juste un doigt sur ce foutu livre. Qu’est-ce qu’il se passe ?
DONG, DONG, DONG.
Six heures sonnèrent depuis le clocher du château.
William Faulkner
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Dim 4 Mar - 11:37
William Faulkner
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un jour on s'aimera (ou pas)
aaaah oui oui oui Faulkner rigole rigole probablement trop même Mais qu'est-ce que c'est drôle de le voir reculer comme si j'avais la Peste aujourd'hui s'annonce être une très bonne journée Le voilà déjà fort satisfait et il n'a qu'une envie continuer.
enfin pas continuer à Lire hein il en a vraiment rien à cirer des contes Je ne suis plus un Enfant après tout mais com-Poe-te semble en avoir décidé autrement
d'ordinaire Je me serais méfié Mais c'est qu'il sait intriguer Faulkner (rien de plus simple à vrai dire parlez-lui de lui-même) Faulkner qui s'approche donc et prend le petit ouvrage Faulkner qui se demande Quel conte pourrait le concerner c'est une vraie question ça une quelconque légende sur la beauté peut-être ?
« Il était une fois un gentilhomme qui épousa en secondes noces une femme, la plus hautaine et la plus fière qu'on eût jamais vue. » hmmm oui ça Me dit quelque chose (encore une histoire pour enfants) Mais je ne suis certainement pas hautaine, peuh
… ah mais Je me suis fait avoir (comme un bleu) pas faute de savoir que le pouvoir de Poe de vache s'utilise avec un livre, hein. et l'androgyne essaie de Lâcher ce putain de bouquin (je n'ai jamais aimé lire de toute façon) Mais c'est Trop tard.
un étourdissement et il revient à lui le brun … et puis un hurlement Qu'est-ce que c'est que ces haillons tout sales ?! in-ad-mi-ssible Oh je jure qu'il ne perd rien pour Je vais lui faire la Poe Mais quel espèce de RAH JE DÉTESTE CETTE ENFLURE D'ECRIVAIN Comment ose-t-il Il va me le hhhh c'en est déjà t r o p
un regard aux alentours c'est une maison Il y a une cheminée mais Personne ici bon eh bien puisque c'est comme ça Faulkner explore à la recherche de nouveaux vêtements Peu de chances de trouver un kimono dans un conte occidental mais au moins… ah… n'importe quoi… (il sait bien qu'il faut finir le conte pour sortir mais hors de question que ce soit dans cette tenue)
Edgar A. Poe
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Sam 10 Mar - 13:31
Edgar A. Poe
Règlement de contesft. Faulkner
Dans le grenier où se trouvait Faulkner, il faisait assez froid, le vent passant par la petite lucarne d’où il pouvait apercevoir le grand château blanc au loin. Quand « la jeune femme » se fût levée de son ramassis de paille, quelques brindilles étaient restées dans ses cheveux, ainsi que dans les haillons que portait celle-ci. Les vêtements que portait Faulkner n’étaient ni plus ni moins qu’une sorte de jupe munie d’un tablier, mais tout était sale, troué et abîmé par les travaux qu’effectuait quotidiennement la jeune femme.
Elle avait beau fouiller, il n’y avait rien que quelques balais et autres ustensiles de nettoyage, quelques foulards du temps où elle était enfant. Sur le sol était posé une photo, de Faulkner, avec son père et sa mère tous souriants, car oui, Faulkner avait pris la place de Cendrillon, comme si tout depuis le début était lié à lui. Malgré que ce soit un grenier, c’était propre et bien aménagé, Faulkner en avait apparemment pris soin.
Et pendant qu’il était à la recherche de nouvelles loques plus propres et jolies que celle qu’il portait, un cri strident venu d’en bas, quelqu’un râlait après elle.
- CENDRILLON ! Où est notre petit déjeuner ? Va tout de suite nous préparer ça, souillon !
La marâtre. Elle avait une voix perçante, si bien que Cendrillon l’eût entendue depuis le grenier alors que sa belle-mère exprimait sa colère depuis sa chambre.
Apparemment les tâches que Cendrillon devait effectuer était simples, mais pénibles : Faire le linge, faire à manger, s’occuper des pavés, du jardin, mais aussi faire les chambres de ses deux belles-sœurs qui étaient bien plus pénibles qu’une cour d’enfants hyperactifs. Mais elle avait de la chance, Cendrillon, car pour l’instant, Anastasie et Javotte -qui étaient leurs noms, et que Faulkner savait apparemment déjà- dormaient encore, faisant la grasse matinée pendant que la jeune femme devait se hâter à faire la bonne.
William Faulkner
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Lun 9 Avr - 0:11
William Faulkner
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un jour on s'aimera (ou pas)
oooouh je sens que ça va être le plus beau jour de ma vie Faulkner peste Faulkner s'active Faulkner met ce grenier-frigidaire en bordel mais rien rien rien de mieux à porter que ces insupportables torchons (rien que ça le met hors de lui)
mais alors en plus ce cri strident Inacceptable. d'habitude c'est moi qui les émets les cris stridents et J'ai l'ouïe fine ça me casse les oreilles "VA TE FAIRE FOUTRE CONNASSE J'AI BESOIN DE NOUVELLES FRINGUES AVANT TOUTE CHOSE" Comme si. Faulkner allait. S'abaisser à. ça. sans réfléchir il a gueulé Mais ça a eu beaucoup moins d'effet que prévue Vieille Poe l'a privé de ses précieux pouvoirs mais quelle Enflure il ne perd rien pour attendre.
… … … … m e r d e
Faulkner n'avait pas réfléchi en effet (c'est problématique) il ne se rend compte que maintenant qu'elle a dit Cendrillon et que Cendrillon c'est lui. Ahem euh Comment dire hm Bon Ce n'est pas comme ça que je vais faire avancer le conte ni en Sortir Putain ça me saoule déjà cette histoire
Faulkner connaît vaguement le conte il a deux ou trois souvenirs C'est une beauté réduite en esclavage ? Mmmmmmh Je crois qu'elle va au bal, séduit le prince et puis cette histoire avec la chaussure
finalement ce n'était pas une si mauvaise idée que de réclamer de beaux vêtements (il pourra aller au bal avec et en finir) Alors Faulkner descend prêt à se battre avec l'autre pétasse qui ose lui faire porter ça. Bring it on.
Edgar A. Poe
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Ven 25 Mai - 13:46
Edgar A. Poe
Règlement de contesft. Faulkner
Désolé, j'ai édité sans le vouloir. Quand Cendrillon entra dans les chambres des deux jeunes sœurs, celles-ci la jugeaient, comme si elle était sortie de nulle part, ou pire encore, comme si elle était toujours sale. Elles la regardaient comme si elle était un rat sorti d’un mur. De la méchanceté, c’est tout ce que ces filles pouvaient éprouver pour la jeune femme qui prenait leur linge.
- Bon tu te dépêches de sortir ? J’en ai marre de t’avoir dans mon champ de vision.
Avait dit Javotte dans un regard hautain, clairement, Cendrillon dérangeait tout le monde, mais était aussi très utile, et c’était sûrement la seule raison pour laquelle ces femmes la gardaient. Pourtant Cendrillon était dans sa propre maison, chez elle. Mais elle était comme un meuble, ou même pire encore, le meuble aurait été bien mieux traité que cette pauvre Cendrillon.
Pendant que la jeune femme était partie se changer dans les combles, la belle-mère commençait à perdre patience, et recommença à parler d’une voix forte et insupportable, tout en sonnant la clochette de la cuisine qui résonnait dans toute la maison.
- Cendrillon ! Dépêche-toi ! Si tu ne te hâtes pas nous seront en retard pour le bal de ce soir. Auquel tu n’es pas conviée bien sûr. Je tiens à ce que tout soit parfait ! Sers-nous notre petit déjeuner et arrêtes de traîner !
Oui, cette famille était insupportable, et peut-être tout autant que le vent froid qui passait par la petite fenêtre du grenier où se trouvait la jeune femme. La robe qu’elle venait de prendre à ses deux sœurs lui allaient bien mieux qu’à elle, c’était certain, même si elle était un peu grande. C’est qu’Anastasie et Javotte ont un corps bien plus enrobé que celui de Cendrillon qui se faisait mince. - Bon allez là tu nous fait perdre notre temps, parce que NOUS on va au bal et NOUS allons être les plus belles.
- Oui, et puis sans oublier que NOUS allons nous marier avec le prince.
Quelles insupportables femmes.
William Faulkner
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Lun 4 Juin - 19:29
William Faulkner
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un jour on s'aimera (ou pas)
aaaaaaaaaaaah aaaah mais qui m'a foutu des """soeurs""" pareilles. (question rhétorique bien sûr Poe-timaron va prendre cher) Faulkner n'est même pas descendu qu'il a envie de se défenestrer. (ça lui rappelle chez lui son vrai "chez lui" avec sa fratrie insupportable)(et Dieu sait qu'il n'avait pas besoin de ça)
Mais réfléchis un peu Faulkner Avant de se précipiter pour leur casser la figure Peut-être que Ce serait mieux de Mmmh oui Oui oui ce serait bien Alors il les rejoint dans une chambre au pif (et il est jaloux) et force un sourire "mes bien sûr mes chères soeurs…" (si sa voix pouvait grincer elle le ferait certainement)
… ugh. Mais qu'est-ce qu'elles sont laides ça devrait être interdit par la loi d'être aussi moche (et ça se dit ma "famille" laissez-moi rire) plutôt mourir que servir des morues comme elles. peuh. son sourire sans qu'il n'y puisse rien devient grimace et alors qu'il embarque le linge sale (berk) il vole une robe propre cachée parmi les autres hahaha je les ai bien eues
Maintenant elles peuvent aller se faire foutre. en sortant (discrètement) il se demande bien s'il n'y a pas une clef pour les chambres de ces gueulardes… Mieux vaut ne pas rêver
et remonter au frigo pour se changer en espérant que ça ne soit pas trop grand C'est qu'ils n'ont pas la même carrure Je suis plus féminin qu'elles deux réunies c'est fou ça Et en deux temps trois mouvements il a changé de robe (ça va tout de suite mieux)(même si c'est effectivement trop grand)(au moins c'est beau).
alors maintenant le plan c'est de partir très vite. Si possible en les enfermant.
Edgar A. Poe
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Jeu 16 Aoû - 3:21
Edgar A. Poe
Règlement de contesft. Faulkner
Quand Cendrillon entra dans les chambres des deux jeunes sœurs, celles-ci la jugeaient, comme si elle était sortie de nulle part, ou pire encore, comme si elle était toujours sale. Elles la regardaient comme si elle était un rat sorti d’un mur. De la méchanceté, c’est tout ce que ces filles pouvaient éprouver pour la jeune femme qui prenait leur linge.
- Bon tu te dépêches de sortir ? J’en ai marre de t’avoir dans mon champ de vision.
Avait dit Javotte dans un regard hautain, clairement, Cendrillon dérangeait tout le monde, mais était aussi très utile, et c’était sûrement la seule raison pour laquelle ces femmes la gardaient. Pourtant Cendrillon était dans sa propre maison, chez elle. Mais elle était comme un meuble, ou même pire encore, le meuble aurait été bien mieux traité que cette pauvre Cendrillon.
Pendant que la jeune femme était partie se changer dans les combles, la belle-mère commençait à perdre patience, et recommença à parler d’une voix forte et insupportable, tout en sonnant la clochette de la cuisine qui résonnait dans toute la maison.
- Cendrillon ! Dépêche-toi ! Si tu ne te hâtes pas nous seront en retard pour le bal de ce soir. Auquel tu n’es pas conviée bien sûr. Je tiens à ce que tout soit parfait ! Sers-nous notre petit déjeuner et arrêtes de traîner !
Oui, cette famille était insupportable, et peut-être tout autant que le vent froid qui passait par la petite fenêtre du grenier où se trouvait la jeune femme. La robe qu’elle venait de prendre à ses deux sœurs lui allaient bien mieux qu’à elle, c’était certain, même si elle était un peu grande. C’est qu’Anastasie et Javotte ont un corps bien plus enrobé que celui de Cendrillon qui se faisait mince. - Bon allez là tu nous fait perdre notre temps, parce que NOUS on va au bal et NOUS allons être les plus belles.
- Oui, et puis sans oublier que NOUS allons nous marier avec le prince.